📌 Affaire Jubillar : l’ex-compagne de Cédric révèle ce qu’il lui avait dit pour le corps de Delphine

Posted 9 octobre 2025 by: Admin
L’Ex-Compagne De Cédric Jubillar Témoigne : Entre Curiosité Et Contradictions
Ce jeudi 9 octobre, Séverine prend place à la barre pour livrer un témoignage qui suscite immédiatement l’attention. Cette femme, qui a entamé une relation avec Cédric Jubillar en avril 2021, révèle des motivations pour le moins troublantes. « Pourquoi pas me mettre en relation avec lui pour essayer d’en savoir un peu plus », explique-t-elle avec une franchise déconcertante.
Sa curiosité morbide l’a donc poussée vers l’accusé, quelques mois seulement après la disparition de Delphine. Séverine reconnaît avoir observé des comportements suspects chez son compagnon d’alors : « J’ai eu parfois des doutes car il ne cherchait pas trop sa femme non plus, mais je ne me suis jamais dit que c’était lui qui avait fait du mal à Delphine », affirme-t-elle devant la cour.
Pourtant, ses déclarations actuelles contredisent frontalement ses dépositions initiales auprès des gendarmes. Là où elle présente aujourd’hui Cédric comme un père attentionné, ses premiers témoignages dressaient un portrait bien différent. Cette volte-face interroge sur la sincérité de ses propos et jette un voile de suspicion sur la véracité de ses affirmations.
L’attitude de Séverine révèle une ambiguïté profonde : entre fascination pour l’affaire et aveuglement sentimental, son témoignage soulève plus de questions qu’il n’apporte de réponses. Ces contradictions flagrantes ébranlent sa crédibilité au moment où ses révélations les plus troublantes vont être exposées.
Révélations Troublantes : Quand Cédric Jubillar « Plaisante » Sur L’Emplacement Du Corps
Ces contradictions prennent une tournure particulièrement glaçante lorsque Séverine évoque les confidences les plus troublantes de son ex-compagnon. Face aux magistrats, elle confirme un élément majeur de l’enquête : Cédric Jubillar lui a bel et bien indiqué avoir enterré le corps de Delphine, précisant même l’emplacement près d’une ferme incendiée.
Pourtant, cette révélation capitale ne semble pas ébranler sa conviction. Séverine justifie son incrédulité par le ton employé par l’accusé : « Il l’a dit d’une façon que ça ne pouvait pas être vrai », explique-t-elle, minimisant ainsi des propos qui constituent pourtant un aveu potentiel. Cette relativisation inquiétante soulève des questions sur sa capacité à distinguer le sérieux de la plaisanterie dans un contexte aussi dramatique.
« C’est toujours mon sentiment, pour moi, il ne l’a pas fait », persiste-t-elle malgré ces déclarations accablantes. Cette attitude révèle un mécanisme psychologique troublant : comment une femme peut-elle balayer d’un revers de main des confidences aussi précises sur l’emplacement d’un cadavre ?
Le contraste entre la gravité des propos rapportés et leur banalisation systématique par Séverine interroge sur les véritables motivations de sa relation avec l’accusé. Car d’autres révélations vont bientôt éclairer son rôle dans cette affaire sous un jour encore plus sombre.
Le Rôle Trouble De Séverine Dans Le Stratagème De Manipulation
Ces zones d’ombre se densifient lorsque les magistrats interrogent Séverine sur ses liens avec Marco, l’ex-codétenu de Cédric Jubillar. Une relation qui dépasse largement le cadre de la simple curiosité qu’elle invoque.
Les faits sont troublants : Séverine a rencontré Marco à quatre reprises, lui transmettant des informations sensibles. Plus préoccupant encore, elle lui a montré la photographie de l’amant de Delphine, ainsi que celle de sa compagne. Ces gestes ne relèvent plus de la curiosité innocente, mais s’inscrivent dans une démarche active et ciblée.
Car Marco a révélé aux enquêteurs un élément capital : Cédric Jubillar lui avait demandé de déplacer le corps de sa femme dans le but de faire accuser son amant. Dans ce contexte, la transmission de ces photos par Séverine prend une dimension particulièrement inquiétante, suggérant sa participation involontaire à ce stratagème.
Confrontée à ces éléments accablants, Séverine tente de minimiser : « Mais c’était surtout de la curiosité, si on avait trouvé quelque chose, je serai allée le dire à la gendarmerie ». Cette justification peine à convaincre face à la précision de ses actions et leur concordance troublante avec les projets manipulatoires de l’accusé.
Le portrait qui se dessine révèle une femme prise dans un engrenage qu’elle prétend ne pas comprendre, alors que d’autres révélations vont bientôt éclairer l’ampleur des confidences reçues.
Méthodes D’Effacement De Preuves : Les Conseils Glaçants De Cédric Jubillar
Ces confidences troublantes ne s’arrêtent pas là. Lors de l’enquête, Séverine avait révélé aux gendarmes des conversations d’une froideur saisissante avec l’accusé. Des échanges qui prennent aujourd’hui une résonance particulièrement sinistre dans le contexte du procès.
Cédric Jubillar lui avait ainsi détaillé ses connaissances en matière d’effacement de preuves. Pour faire disparaître les empreintes digitales, il suffisait selon lui d’utiliser du papier à poncer. Une technique rudimentaire mais efficace, expliquée avec un détachement troublant.
Plus glaçant encore, l’accusé avait confié à sa compagne sa méthode pour faire disparaître définitivement un corps humain : « Pour faire disparaître un corps, il suffit de le donner à manger aux cochons ». Cette déclaration, d’une brutalité inouïe, révèle une réflexion approfondie sur les moyens de supprimer toute trace d’un crime.
Malgré ces révélations effroyables, Séverine maintient paradoxalement sa conviction : « Si j’avais pensé qu’il était coupable, je ne me serai pas mis avec lui. Mais des fois il a des comportements, ça me met le doute ». Un témoignage qui illustre toute l’ambiguïté de sa position, entre déni et lucidité troublante.
Ces techniques criminalistiques exposées avec tant de précision interrogent désormais les enquêteurs sur leur éventuelle mise en application dans la disparition de Delphine Jubillar.