📌 Brigitte Macron porte plainte contre Candace Owens : « Cette fraude sur ma fiche d’imposition le prouve… »

Posted 5 septembre 2025 by: Admin
L’Origine D’Une Rumeur Complotiste Virale
Au cœur de cette polémique se trouve Candace Owens, polémiste américaine influente et amie proche de Donald Trump. C’est par le biais de sa chaîne YouTube, forte de plus de 4 millions d’abonnés, que cette figure controversée a déclenché une vague de spéculations sans précédent.
Dans une vidéo devenue virale, l’influenceuse a en effet lancé une affirmation explosive : Brigitte Macron ne serait pas née femme, mais aurait vécu sous l’identité de Jean-Michel Trogneux. Selon cette théorie, la première dame et son frère aîné ne feraient qu’une seule personne. Une allégation dénuée de tout fondement factuel, mais suffisamment provocante pour enflammer les réseaux sociaux.
La portée de cette information non vérifiée a rapidement dépassé les frontières numériques américaines. Relayée massivement sur les plateformes digitales, cette rumeur a trouvé un terreau fertile parmi les communautés complotistes françaises. Comme le révèle Le Canard Enchaîné, certains individus se sont même saisis de cette « mèche enflammée » pour alimenter un véritable « feu de brousse » de désinformation.
Cette propagation virale illustre parfaitement les mécanismes destructeurs de notre époque digitale, où une simple déclaration peut déclencher une avalanche de manipulations et de falsifications documentaires.
Falsification De Documents Officiels : L’Affaire Corse
Ces manipulations documentaires ne sont pas restées virtuelles. Un couple corse a franchi une ligne rouge en falsifiant délibérément les avis d’imposition de la première dame, transformant la désinformation en délit pénal caractérisé.
Laurent et Juliette se sont retrouvés devant la 13ème chambre correctionnelle de Paris, accusés d’« introduction et de modification frauduleuses de données ». Les faits révélés par l’enquête dévoilent une manipulation méthodique : sur les documents trafiqués, Brigitte Macron apparaît sous l’identité de « Mme Trogneux Macron Jean-Michel, dit Brigitte ».
Face aux magistrats, Laurent a tenté une défense pour le moins bancale : « Je suis sidéré par tout cela, je pensais juste que j’allais avoir une soufflante des Impôts de Bastia ». Une justification qui peine à convaincre au regard de la préméditation manifeste de l’opération.
L’enquête a rapidement identifié Juliette comme la véritable architecte de cette falsification. Décrite comme une « antivax notoire » doublée d’une complotiste active, elle aurait intentionnellement modifié la rubrique « autres personnes invalides à charge » sur les déclarations fiscales de plusieurs membres du gouvernement.
Cette escalade criminelle illustre comment une simple rumeur peut dégénérer en infractions graves, impliquant désormais la justice dans un conflit qui dépasse largement les frontières du simple débat public.
La Riposte Judiciaire De La Première Dame
Face à cette déferlante de mensonges et aux falsifications documentaires, Brigitte Macron a choisi de contre-attaquer par la voie légale. L’accumulation d’attaques diffamatoires et la manipulation de documents officiels ont épuisé sa patience institutionnelle.
La première dame a déposé une plainte d’ampleur exceptionnelle contre Candace Owens, comprenant plus de 22 chefs d’accusation. Cette procédure judiciaire témoigne d’une stratégie offensive minutieusement préparée, visant à neutraliser définitivement les sources de cette campagne de désinformation.
L’arsenal juridique déployé révèle la gravité des préjudices subis. Chaque chef d’accusation correspond à une infraction spécifique : diffamation, injure publique, atteinte à la vie privée, ou encore complicité dans la propagation de fausses nouvelles. Cette multiplication des griefs illustre l’étendue des dégâts causés par la polémique.
La démarche judiciaire marque un tournant décisif dans la gestion de cette affaire. Plutôt que de laisser les rumeurs s’éteindre naturellement, l’Élysée a opté pour une confrontation judiciaire directe avec les instigateurs américains du scandale.
Cette escalade procédurale transforme un simple conflit médiatique en bataille juridique internationale, où chaque camp semble déterminé à aller jusqu’au bout de ses convictions.
Escalade Verbale Et Défi Judiciaire
Cette bataille judiciaire internationale a provoqué une réaction aussi immédiate qu’explosive de la part de Candace Owens. L’influenceuse américaine n’a pas tardé à répondre aux poursuites par une contre-offensive médiatique d’une violence inouïe.
Dans une vidéo postée sur sa chaîne YouTube, la polémiste a franchi tous les seuils de la décence. « Tu es né homme et tu mourras homme », a-t-elle lancé directement à l’adresse de Brigitte Macron, transformant le différend en vendetta personnelle. Cette déclaration marque un point de non-retour dans l’escalade des hostilités.
L’Américaine a poursuivi ses attaques avec une virulence assumée : « Je pense que tu es malade. Je te trouve dégoûtant. » Ces propos, diffusés devant des millions d’abonnés, témoignent d’une stratégie de diabolisation systématique de la première dame française.
Loin de reculer face aux menaces judiciaires, Candace Owens a accepté le défi avec une détermination provocatrice. « Je suis parfaitement prête à mener cette bataille, au nom du monde entier. Nous nous verrons au tribunal », a-t-elle déclaré, internationalisant définitivement le conflit.
Cette acceptation du face-à-face judiciaire transforme l’affaire en un précédent historique. Jamais une première dame française n’avait été confrontée à une telle campagne de harcèlement transfrontalière, orchestrée depuis l’étranger avec une méthodologie aussi agressive.