📌 Disparue pendant que son mari dormait sur la plage, ce que révèle la découverte de son corps un mois plus tard

Posted 5 septembre 2025 by: Admin
Une Disparition Mystérieuse Sur Une Plage Grecque
Le 1er août dernier, sous le soleil ardent de la plage d’Ofrynio, dans l’est de la Grèce, un couple écossais savourait ses vacances estivales. Michele Bourda, 59 ans, et son mari Chris, 66 ans, avaient choisi cette destination pour six semaines de détente bien méritées, loin de leur Glasgow natal.
Vers midi, après une baignade rafraîchissante dans les eaux méditerranéennes, le couple s’installe sur des transats pour une sieste réparatrice. L’ambiance est paisible, typique de ces moments de quiétude que recherchent les vacanciers. Chris s’endort tranquillement, rassuré par la présence de sa femme allongée à quelques mètres de lui.
Mais au réveil, le cauchemar commence. Michele a disparu. Volatilisée. Seules ses affaires personnelles témoignent encore de sa présence : lunettes, médicaments, argent, tous abandonnés sur le sable chaud. Aucune trace de lutte, aucun indice. Comme si elle s’était évaporée en plein jour.
Cette disparition soudaine et inexplicable d’une femme en pleine sieste, à côté de son mari endormi, sur une plage fréquentée, défie toute logique. Comment une personne peut-elle disparaître sans laisser le moindre signe, abandonnant derrière elle tous ses effets personnels les plus essentiels ?
La Négligence Policière Qui A Coûté Cher
Cette question légitime que se posait Chris Bourda ne trouvera hélas aucune écoute auprès des autorités grecques. Lorsque le mari alerte immédiatement la police locale de la disparition de sa femme, la réaction des forces de l’ordre révèle un amateurisme confondant.
Plutôt que de déclencher une recherche d’urgence, les policiers balaient d’un revers de main les inquiétudes du veuf. Leur théorie ? Michele serait tout simplement « partie avec un autre homme ». Cette hypothèse grotesque, formulée sans la moindre enquête préliminaire, témoigne d’un mépris total pour la gravité de la situation.
Les dysfonctionnements s’accumulent. **Il faudra trois heures** aux autorités pour simplement rédiger un rapport de disparition. Trois heures perdues pendant lesquelles chaque minute compte dans ce type d’affaire. Les recherches ne débuteront qu’en fin de soirée, compromettant irrémédiablement les chances de retrouver Michele vivante.
Face aux certitudes de son mari concernant les effets personnels abandonnés sur le sable, la police maintient sa version : « Il n’y avait aucun signe de noyade, elle suivait quelqu’un d’autre ». Chris s’insurge contre cette négligence : « Elle ne serait pas partie sans son argent, ses lunettes ou ses médicaments ».
Cette incompétence flagrante aura des conséquences dramatiques. Au bout de quelques jours, les recherches sont **purement et simplement abandonnées**.
Une Découverte Macabre Un Mois Plus Tard
Cet abandon prématuré des recherches ne signifie pas pour autant la fin de l’histoire. Un mois jour pour jour après la disparition de Michele, **un corps est découvert** au début du mois de septembre sur la petite île de Fidonisi. Le lieu de cette macabre trouvaille se situe à environ **40 kilomètres** de la plage d’Ofrynio où la Britannique avait été vue vivante pour la dernière fois.
L’identification formelle n’a pas encore été établie, mais les enquêteurs se montrent catégoriques : ils sont « sûrs à 99% » qu’il s’agit bien du corps de Michele Bourda. Cette quasi-certitude repose sur un élément troublant : **le maillot de bain** que portait la dépouille correspond exactement à celui que Michele avait revêtu lors de sa disparition le 1er août.
Les détails révélés par Chris Bourda sur l’état du cadavre de son épouse glacent le sang. Selon ses déclarations au Daily Mail, le corps a été retrouvé sans tête, à moitié nu et partiellement dévoré par les poissons. Cette description sordide témoigne du temps écoulé depuis la disparition et soulève des questions troublantes sur les circonstances exactes de la mort.
Cette découverte tragique confirme les pires craintes du veuf et démontre l’ampleur de l’erreur commise par les autorités grecques dans leur gestion initiale de l’affaire.
La Colère D’Un Veuf Face À L’Incompétence
Cette erreur fatale des autorités grecques ne reste pas sans conséquences. Chris Bourda sort désormais de son silence pour **dénoncer publiquement** l’inaction de la police portuaire locale. Ses accusations, livrées sans détour au Daily Mail, pointent du doigt une série de dysfonctionnements qui ont scellé le destin tragique de son épouse.
« Ils ont retrouvé son corps. Malheureusement, je m’y attendais », confie-t-il avec amertume. Mais c’est surtout la gestion des premières heures critiques qui nourrit sa colère : « Le problème, c’est que la police portuaire n’a commencé ses recherches que tard dans la nuit et j’ignore les conséquences. »
Le veuf dénonce une **procédure défaillante** qui a fait perdre un temps précieux : « Il ne devrait pas leur falloir trois heures pour rédiger un rapport de disparition avant de lancer les recherches. » Cette lenteur administrative contraste cruellement avec l’urgence de la situation.
Plus grave encore, Chris Bourda révèle que les autorités ont persisté dans leur théorie de la fugue amoureuse malgré des éléments contradictoires évidents : « Ils ont dit qu’il n’y avait aucun signe de noyade, qu’il n’y avait pas de corps, qu’elle suivait quelqu’un d’autre. Mais je savais que ce n’était pas le cas. »
Sa conclusion tombe comme un verdict implacable : « Je pense que la police portuaire n’a vraiment rien fait et que la prochaine fois qu’un incident similaire se produit, elle devrait y réfléchir. »