📌 Éric Lejoindre, maire PS du 18e, avoue enfin ce détail gênant sur son repas à 845€

Posted 5 novembre 2025 by: Admin
Le Scandale Eric Lejoindre Secoue Le 18e Arrondissement Parisien
Le ras-le-bol gronde dans la capitale. Après les révélations autour de Jeanne d’Hauteserre, c’est au tour d’Eric Lejoindre, maire PS du 18e arrondissement de Paris, de déclencher une vague d’indignation sur les réseaux sociaux. L’élu semble rivaliser avec sa consœur du 8e arrondissement pour afficher des notes de frais qui défient l’entendement.
Un contraste particulièrement cinglant dans le contexte actuel. Alors que les Français sont sommés de participer à l’effort national et de combler la dette publique, certains élus semblent évoluer dans une réalité parallèle. L’affaire Lejoindre illustre avec une acuité saisissante cette gestion des fonds publics qui sidère les contribuables.
Car derrière cette polémique se cache bien plus qu’un simple dérapage budgétaire. Il s’agit d’une utilisation de l’argent public qui interroge fondamentalement sur la notion de service public et d’exemplarité. Face à ces révélations, l’indignation populaire ne se fait pas attendre, alimentée par un sentiment croissant d’injustice sociale.
Les chiffres qui émergent de cette enquête dessinent le portrait d’une gestion pour le moins surprenante, où la frontière entre dépenses professionnelles et plaisirs personnels semble s’être dangereusement estompée.
35 557 Euros De Frais Publics En Quatre Ans : L’addition Salée
Ces chiffres révèlent l’ampleur vertigineuse du scandale. Entre 2020 et 2024, Eric Lejoindre a engagé 35 557 euros de frais, intégralement financés par l’argent des contribuables du 18e arrondissement. Une somme qui représente plus d’une année de SMIC pour un seul élu, dans une période où la France traverse l’une de ses crises budgétaires les plus sévères.
L’analyse de ces dépenses pose avec une acuité particulière la question de la juste utilisation des deniers publics. Alors que l’État demande aux Français de « serrer la ceinture » pour combler un déficit abyssal, certains élus semblent évoluer dans un univers où les restrictions budgétaires n’existent pas.
Ce montant dépasse largement les standards habituels des frais de représentation municipaux. Pour donner une perspective, cette somme équivaut au salaire annuel de deux agents municipaux débutants. Un contraste qui ne passe pas inaperçu auprès des habitants du 18e arrondissement, confrontés quotidiennement aux difficultés économiques.
L’examen détaillé de ces 35 557 euros révèle un mode de vie financé sur fonds publics qui dépasse le cadre strictement professionnel. Car derrière ce montant global se cachent des dépenses d’une nature pour le moins surprenante.
Des Dépenses Personnelles Financées Par L’argent Public
Ces surprises prennent une dimension sidérante lorsqu’on examine le détail des factures. L’argent public a servi à financer un mode de vie personnel d’une extravagance inouïe. Premier poste de dépense révoltant : 6 451 euros de pressings sur quatre ans, soit plus de 1 600 euros annuels pour entretenir sa garde-robe aux frais des contribuables.
Mais l’inventaire ne s’arrête pas là. Eric Lejoindre n’a pas hésité à faire financer ses achats d’écouteurs à la Fnac pendant ses périodes de vacances, transformant l’argent public en budget personnel de loisirs. Plus choquant encore, l’élu a fait prendre en charge les repas de ses propres enfants, franchissant allègrement la frontière entre dépenses professionnelles et charges familiales.
L’indécence atteint son paroxysme avec un rendez-vous chez le coiffeur pour le Nouvel An, facturé aux finances publiques alors qu’il se trouvait à plus de 800 kilomètres de Paris. Un caprice personnel transformé en dépense officielle, pourboire inclus, qui illustre parfaitement la dérive d’un élu ayant perdu tout sens des limites.
Cette gestion désinvolte révèle un système où la frontière entre patrimoine personnel et deniers publics s’est complètement effacée. Car au-delà de ces fantaisies quotidiennes, d’autres dépenses atteignent des sommets qui défient l’entendement.
Les Repas De Luxe Qui Font Scandale : 845 Euros Le Déjeuner
Ces sommets d’indécence culminent dans l’art culinaire, où Eric Lejoindre a transformé la gastronomie en véritable gouffre financier public. L’exemple le plus saisissant ? Un déjeuner facturé 845 euros aux contribuables parisiens, une somme qui représente plus que le salaire mensuel de nombreux Français.
Le menu de cette débauche révèle l’ampleur de la déconnexion : champagne millésimé, Saint-Jacques, sole meunière et grand cru de Bordeaux se succèdent dans une symphonie de luxe payée par l’argent public. Chaque bouchée, chaque gorgée financée par ceux qui peinent à remplir leur propre assiette.
L’addiction aux plaisirs gastronomiques ne connaît aucune limite. Un second dîner, facturé 403 euros, affiche le même mépris des réalités économiques : champagne, chair de tourteau, sole meunière et une coupe de fraises à 29 euros – soit le prix d’un repas familial complet pour quatre personnes.
Ces excès ne constituent pas des exceptions, mais une habitude profondément ancrée. Les restaurants étoilés rythment le quotidien de l’élu, transformant chaque sortie en ponction sur les finances publiques. Une gestion qui révèle une conception troublante du service public, où l’exercice du mandat justifierait apparemment tous les caprices.
Cette boulimie gastronomique aux frais du contribuable soulève une question fondamentale sur les limites acceptables de la représentation démocratique.










