📌 Faustine Bollaert veut quitter sa maison décorée de momies et squelettes pour un style scandinave à Paris

Posted 22 décembre 2025 by: Admin
Une Demeure Gothique Au Cœur De La Forêt De Chantilly
Loin des projecteurs de France 2 et du tumulte parisien, Faustine Bollaert a choisi un cadre pour le moins inhabituel : une demeure bourgeoise nichée dans la forêt de Chantilly, en plein département de l’Oise. Un choix radical qui impose à l’animatrice vedette de Ça commence aujourd’hui près d’une heure de trajet quotidien pour rejoindre les studios de la capitale.
C’est là, à l’écart de toute agitation urbaine, qu’elle a longtemps partagé son quotidien avec l’écrivain Maxime Chattam et leurs deux enfants, Abbie (2013) et Peter (2015). Mais ce havre de paix familial cultive une atmosphère singulière, loin des codes attendus d’une résidence de personnalité médiatique.
« On habite dans un endroit très sombre, proche d’une forêt, un peu flippant. Je n’ouvre à personne à partir de minuit ! », avait-elle confié sans détour au micro d’Europe 1 l’an dernier. Une déclaration qui révèle la face cachée de cette installation champêtre : entre isolement assumé et sensation d’insécurité nocturne, la star du petit écran évolue dans un environnement aux antipodes du glamour parisien.
Cette configuration géographique, aussi romantique qu’inquiétante, témoigne d’un choix de vie radical : préserver l’intimité familiale au prix d’un éloignement conséquent. Mais cette tranquillité forestière cache également une décoration intérieure pour le moins inattendue.
Un Intérieur Digne D’un Film D’horreur
Cette atmosphère inquiétante ne s’arrête pas aux portes de la demeure. L’intérieur révèle une esthétique encore plus surprenante, directement inspirée par la passion dévorante du couple pour les films d’épouvante et les histoires gothiques chères à Maxime Chattam.
Momies, squelettes et affiches qui semblent bouger selon l’angle de vue peuplent les pièces de cette maison bourgeoise transformée en véritable cabinet de curiosités macabres. Un univers singulier qui témoigne de l’influence créative de l’écrivain spécialisé dans le thriller et l’horreur sur l’environnement familial.
Le clou du spectacle ? Une authentique salle de cinéma privée aux murs et fauteuils intégralement noirs, accessible uniquement après avoir traversé une collection monumentale de 9 000 Blu-ray méticuleusement classés par genres, à la manière des anciens vidéoclubs. « Nous avons un rituel le vendredi soir : dîner vers 19h pour pouvoir découvrir un film tous ensemble », avait détaillé Maxime Chattam dans les colonnes du Parisien Week-End.
Ce temple cinéphile illustre parfaitement la symbiose entre passion professionnelle et vie domestique. Mais cette harmonie décorative, aussi fascinante soit-elle, commence à montrer ses limites face aux aspirations changeantes de l’animatrice.
Le Clash Décoratif : Scandinave Contre Gothique
Cette accumulation d’objets de collection finit par peser sur Faustine Bollaert. « Mon mari continue de descendre des objets de son bureau. Il en a tellement qu’ils pénètrent dans notre entrée, alors que j’ai envie de jolies couleurs scandinaves ! », avait-elle confié sur Europe 1, trahissant une lassitude croissante face à l’invasion progressive du gothique domestique.
L’animatrice rêve désormais d’un intérieur radicalement différent : « quelque chose de plus épuré, de plus frais », aux antipodes de l’univers sombre qui caractérise actuellement sa demeure. Cette tension esthétique révèle un conflit conjugal plus profond entre deux visions incompatibles du foyer idéal.
D’un côté, Maxime Chattam perpétue son esthétique macabre, transportant inlassablement de nouveaux éléments de sa collection vers les espaces communs. De l’autre, Faustine aspire à la luminosité scandinave, au minimalisme nordique, à une respiration visuelle que l’accumulation actuelle étouffe progressivement.
Ce désaccord décoratif symbolise en réalité une aspiration plus large de l’animatrice : celle d’un changement radical de vie qui dépasse les simples considérations esthétiques et touche à sa relation même avec la géographie parisienne.
L’Appel De Paris Contre La Vie À La Campagne
Ce malaise décoratif cache en réalité une aspiration géographique radicale. « J’ai envie de me rapprocher de Paris », avait déclaré Faustine Bollaert sur Europe 1, formulant un désir qui contredit frontalement les tendances actuelles d’exode urbain observées chez ses confrères.
L’animatrice assume pleinement ce paradoxe : « Tout le monde veut partir en périphérie, en province, et moi, j’ai envie de revenir vers la capitale ». Une position à contre-courant qui n’a jamais séduit Maxime Chattam. « Mon mari n’est pas forcément d’accord. Donc, on se laisse un petit peu porter », avait-elle admis, révélant un nouveau point de friction conjugal.
Cette volonté de retrouver la vie citadine tranche nettement avec les choix résidentiels d’autres personnalités médiatiques. Sa collègue Daphné Bürki s’est installée dans le charmant quartier des Batignolles (XVIIème arrondissement), tandis que le champion Teddy Riner a opté pour une imposante demeure de 400m² à Levallois-Perret, en proche banlieue. D’autres, comme le nageur Florent Manaudou, ont carrément quitté la région francilienne pour un triplex marseillais entièrement rénové.
Depuis sa séparation avec l’écrivain, il est d’ailleurs probable que Faustine Bollaert ait concrétisé cette aspiration longtemps contrariée, abandonnant définitivement l’atmosphère oppressante de la forêt de Chantilly pour l’effervescence urbaine tant désirée.










