📌 Harry Roselmack avoue enfin : « Je n’ai rien de côté, je gère mal mes… »

Posted 17 août 2025 by: Admin
Les Aveux Financiers Surprenants D’Harry Roselmack
Une révélation pour le moins inattendue. Derrière l’image du présentateur star de Sept à huit, Harry Roselmack a levé le voile sur une réalité financière qui surprend. Dans une confession sans fard accordée à Sam Zirah, le journaliste de 52 ans a brisé le mythe de la célébrité forcément fortunée.
« Je ne suis pas du tout businessman. Je suis nul et je gère très mal les finances et je n’ai rien de côté », a-t-il avoué avec une franchise désarmante. Ces mots résonnent comme un électrochoc dans le paysage médiatique français, où l’ancien joker de Patrick Poivre d’Arvor au 20h de TF1 jouit pourtant d’une notoriété indiscutable depuis près de deux décennies.
Le compagnon de Jade Chantelle assume pleinement son statut de « panier percé ». Une reconnaissance publique qui détonne avec l’image d’Épinal souvent associée aux figures emblématiques de la télévision française. Malgré une carrière brillamment menée entre télé et radio, culminant avec sa nomination en 2006 comme présentateur vedette, Harry Roselmack navigue donc à vue financièrement.
Cette transparence inhabituelle offre un regard inédit sur les coulisses d’une profession où les apparences peuvent s’avérer trompeuses.
Portrait D’Un Créatif Avant Tout Businessman
Cette gestion financière chaotique trouve pourtant son explication dans la personnalité même d’Harry Roselmack. Loin d’être un défaut, elle révèle la nature profonde d’un homme guidé par la passion créative plutôt que par l’appât du gain.
« Je suis un créatif et j’aime participer à la société en ayant des idées et en essayant de donner corps à ces idées », revendique-t-il sans complexe. Cette confession éclaire d’un jour nouveau ses difficultés financières : le présentateur de TF1 privilégie systématiquement l’innovation sur la rentabilité, l’audace sur la prudence.
Harry Roselmack reconnaît d’ailleurs ses limites avec une lucidité touchante. « Je ne suis pas un bon gestionnaire », admet-il face caméra. Une faiblesse qu’il transforme en force créatrice, multipliant les projets entrepreneuriaux avec l’enthousiasme d’un éternel optimiste.
Le père de trois enfants cultive cette philosophie du dépassement constant, refusant de s’enfermer dans une zone de confort pourtant confortable. « J’accompagne ou bien je suis à l’origine de différentes aventures entrepreneuriales. J’espère que certaines vont fonctionner », confie-t-il avec un pragmatisme teinté d’espoir.
Cette approche révèle un homme qui place la création au-dessus du profit, une mentalité d’artiste qui explique ses déboires financiers mais aussi sa richesse humaine.
Les Risques De L’Entrepreneuriat Selon Le Présentateur
Ces déboires financiers prennent tout leur sens quand Harry Roselmack détaille sa vision de l’entrepreneuriat. Une philosophie risquée qui explique pourquoi ses comptes bancaires restent désespérément vides malgré sa notoriété.
« Parce que l’entrepreneuriat, c’est d’abord de l’investissement, du développement », expose-t-il avec une franchise désarmante. Le présentateur de Sept à huit révèle alors la réalité brutale de ses aventures professionnelles : « Au début, non seulement on ne gagne pas d’argent mais on en investit et parfois on en perd, parce que ça ne marche pas ».
Cette confession éclaire d’un jour cru la situation financière précaire du journaliste. Loin d’être une victime de ses choix, Harry Roselmack assume pleinement cette approche périlleuse, multipliant les projets coûteux sans garantie de retour sur investissement.
Pourtant, malgré les échecs et les pertes, le quinquagénaire cultive un optimisme inébranlable. La dimension humaine de ses projets compense largement les déceptions financières : « ce qui est génial c’est l’aventure vécue avec d’autres », confie-t-il avec une sincérité touchante.
Cette philosophie de vie, où l’expérience prime sur le profit, révèle un homme qui a choisi de mesurer sa réussite à d’autres critères que son compte en banque. Une vision qui trouve son aboutissement dans ses priorités les plus profondes.
La Famille Comme Ultime Richesse
Ces priorités les plus profondes ont un nom : Omaya, Yanaël et Leroy. Nés respectivement en 2007, 2008 et 2010 de son union avec son ex-épouse Chrislaine, ces trois enfants constituent le véritable patrimoine d’Harry Roselmack.
Loin des comptes en banque vides, le présentateur cultive une richesse d’un autre ordre. « Mes enfants ont un regard un peu différent sur ce que je fais », confie-t-il avec une tendresse palpable. Cette lucidité paternelle révèle un équilibre savamment orchestré entre l’homme public et le père de famille.
La relation qu’entretient sa progéniture avec sa notoriété témoigne d’une éducation réussie : « Ils sont très fiers de leur papa, ça je le sais, mais ils ont une forme de distance aussi pour vraiment séparer l’homme que je suis de la personnalité médiatique ». Cette maturité précoce rassure le journaliste sur sa capacité à préserver l’essentiel.
Contrairement à sa gestion financière chaotique, Harry Roselmack se montre d’une clairvoyance remarquable concernant l’avenir de ses enfants. Aucune pression, aucune projection : il compte leur laisser une totale liberté quant à leur orientation professionnelle.
Son ambition pour eux ? Une seule priorité guide ses choix parentaux : leur bonheur. Un héritage infiniment plus précieux que n’importe quel compte d’épargne garni.