📌 Il blague en attribuant ses maux de dos à l’âge : à 38 ans, Steve décède deux mois plus tard d’un cancer

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Posted 15 octobre 2025 by: Admin #Santé

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L’Histoire Tragique De Steve Burrows : Quand Les Maux De Dos Cachent Le Pire

Steve Burrows, père de deux filles et beau-père de deux adolescents, a commencé à ressentir de légères douleurs dans le bas du dos en juillet dernier, dans sa maison de St. Neots, au Royaume-Uni. À 38 ans, cet homme en apparente bonne santé n’imaginait pas qu’un simple mal de dos signerait son arrêt de mort deux mois plus tard.

« Il a commencé à avoir des tiraillements dans le bas du dos et essayait de faire des étirements de type yoga pour soulager la douleur », raconte son ex-compagne, Bethan Kester. Loin de s’inquiéter, Steve préférait tourner ses maux en plaisanteries, une attitude qui lui sera fatale.

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« Il plaisantait tout le temps sur le fait de vieillir. Il disait à mes enfants : « C’est juste l’âge », et je lui répondais : « Tu n’as que 38 ans » », se souvient Bethan, encore marquée par ces derniers échanges désormais chargés d’une ironie tragique.

Cette gêne anodine s’est progressivement transformée en une douleur constante, de plus en plus difficile à supporter. Steve passait désormais ses journées à genoux devant le canapé, multipliant les étirements, convaincu qu’il s’agissait d’une simple sciatique. Cette banalisation d’un symptôme apparemment bénin allait lui coûter la vie, révélant l’une des facettes les plus sournoises du cancer colorectal.

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Le Diagnostic Choc : D’une Sciatique Présumée À Un Cancer Métastasé

Cette conviction d’une simple sciatique a retardé la consultation médicale cruciale. Steve a attendu près d’un mois avant de franchir le seuil d’un cabinet médical, persuadé que ses étirements quotidiens finiraient par venir à bout de cette douleur persistante.

Lorsqu’il a finalement consulté, les examens ont révélé une réalité brutale : un cancer rectal métastasé au foie. Ce jour-là, la vie de Steve a basculé définitivement. Les maux de dos qu’il attribuait au vieillissement cachaient en réalité une maladie déjà avancée, dont les ramifications létales s’étendaient bien au-delà de sa localisation initiale.

« La douleur dans le dos était en réalité causée par des tumeurs qui appuyaient sur ses nerfs. Il était dévasté, il m’a appelée en pleurant, il était terrifié », confie Bethan, encore bouleversée par ce coup de téléphone qui a tout changé. Cette révélation médicale a transformé un homme confiant en patient terrorisé, conscient soudain de la gravité de sa situation.

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Le contraste entre ses plaisanteries sur l’âge et la réalité du diagnostic illustre la perversité de cette maladie. En quelques semaines, le cancer a envahi tout son organisme. « La maladie a complètement ravagé son corps avant que quiconque puisse réaliser ce qui se passait, et cela nous a tous pris par surprise », témoigne Bethan.

Cette progression foudroyante allait sceller le destin de Steve, transformant un père de famille en pleine force de l’âge en condamné.

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Un Décès Foudroyant Et Le Message D’Alerte De Sa Famille

Cette condamnation s’est concrétisée avec une rapidité saisissante. Steve Burrows est décédé un mois seulement après son diagnostic, laissant derrière lui ses filles, sa compagne Bethan et une famille entière dévastée par cette perte brutale.

Pour Bethan Kester, le deuil s’est transformé en mission vitale : alerter le public sur les symptômes trop souvent négligés du cancer colorectal. Son message résonne comme un appel urgent à l’action : « S’il se passe quelque chose dans votre corps qui n’est pas normal, faites-le vérifier ».

Elle insiste particulièrement sur l’importance du second avis médical, se remémorant ces premiers tests qui n’avaient rien révélé : « Si vous n’êtes pas satisfait des résultats et que votre corps continue à vous dire que quelque chose ne va pas, demandez un second avis ».

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Dans un hommage déchirant, Bethan révèle la motivation profonde qui l’anime : « La perte de Steve a laissé un énorme vide dans nos vies. Tout a été bouleversé, car il faisait partie de notre quotidien. Si le fait de partager son histoire permet à une seule personne d’aller consulter un médecin ou de demander un second avis, alors il aura fait une différence ».

Cette tragédie personnelle devient ainsi un plaidoyer universel pour la prévention, transformant la mort de Steve en potentiel sauveur de vies futures.

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Les Conseils Du Dr Kierzek : L’Urgence Du Dépistage Précoce

Cette mission de sensibilisation trouve un écho médical crucial dans les recommandations du docteur Gérald Kierzek. Lors de l’émission Télématin sur France 2, le médecin urgentiste a rappelé une vérité fondamentale : « le dépistage n’est pas sale et il sauve des vies ».

Le cancer colorectal représente aujourd’hui « le deuxième cancer le plus meurtrier en France, mais aussi l’un de ceux que l’on peut le mieux soigner lorsqu’il est détecté tôt ». Cette réalité paradoxale souligne l’importance cruciale d’un diagnostic précoce, exactement ce qui a fait défaut dans le cas de Steve.

Le Dr Kierzek démystifie le processus de dépistage : « simple, indolore et réalisable à la maison », le test utilise un kit fourni par l’Assurance Maladie pour les 50-74 ans. L’objectif ? « Détecter la présence éventuelle de sang dans les selles, signe d’une anomalie à explorer par coloscopie ».

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Les chiffres rassurent : « 96 % des tests sont normaux », plaide le médecin pour vaincre les réticences. Pour ceux qui n’ont pas reçu leur kit, la solution existe sur « monkit.depistage-colorectal.fr » ou auprès de professionnels de santé.

L’enjeu dépasse l’individuel : « si tous les Français de 50 à 74 ans participaient au programme de dépistage, près de 7000 vies pourraient être sauvées chaque année ». Un chiffre qui transforme chaque test en geste de survie collective.

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