📌 Il se déguise en femme âgée pendant 3 ans pour toucher la pension de sa mère : ce qu’ils ont découvert dans sa maison laisse sans voix

Cinéma Italien Dissimulation de cadavre escroquerie Fraude bancaire Pension alimentaire Usurpation d'identité

Posted 26 novembre 2025 by: Admin #Actualité

Image d'illustration © TopTenPlay
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Un Déguisement Sophistiqué Pour Une Escroquerie Audacieuse

Perruque soigneusement arrangée, robe d’une élégance discrète, canne assortie et bijoux vintage : tout était minutieusement calculé dans cette transformation saisissante. Le 11 novembre dernier, cet infirmier de 57 ans franchissait les portes du bureau d’état civil de Borgo Virgilio avec une assurance troublante, incarnant parfaitement le rôle d’une retraitée octogénaire venue renouveler sa carte d’identité.

Derrière cette métamorphose spectaculaire se cachait un stratagème d’une audace rare : depuis trois années, ce quinquagénaire italien percevait frauduleusement la pension de retraite de sa mère, décédée en réalité depuis 2022. Un montant non négligeable de près de 3 000 euros mensuels qui justifiait amplement l’élaboration de ce subterfuge complexe.

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La vidéo diffusée par le Corriere della Sera témoigne de l’extraordinaire sophistication de cette imposture. Chaque détail du costume était étudié pour garantir une illusion parfaite : la démarche hésitante soutenue par la canne, le port altier malgré l’âge supposé, jusqu’aux accessoires choisis avec soin pour compléter cette identité d’emprunt.

Mais l’expiration de la pièce d’identité maternelle allait précipiter la chute de cette comédie minutieusement orchestrée, confrontant l’escroc à un obstacle administratif qu’il ne pouvait plus contourner.

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Le Piège Tendu Par Les Autorités

Cette apparente maîtrise de la situation n’échappait pourtant pas à l’œil exercé du personnel administratif. Dès son arrivée dans les bureaux municipaux, le comportement suspect de cette prétendue octogénaire éveillait les soupçons des employés de l’état civil de Borgo Virgilio. Quelque chose clochait dans cette démarche, malgré la sophistication du déguisement.

L’intuition des fonctionnaires se révélait juste : plutôt que de traiter machinalement cette demande de renouvellement, ils alertaient immédiatement la police locale. Une enquête discrète s’organisait alors autour de cette mystérieuse retraitée dont l’identité posait question.

Les autorités optaient pour une stratégie d’infiltration particulièrement raffinée. Au lieu d’interpeller directement le suspect, elles élaboraient un guet-apens en règle : une seconde convocation était programmée pour le 19 novembre, officiellement pour corriger « une erreur » dans le traitement des données administratives.

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Cette convocation piégée représentait le moment crucial de l’opération. Les enquêteurs misaient sur la nécessité pour l’escroc de maintenir son imposture jusqu’au bout, espérant ainsi le prendre en flagrant délit lors de cette seconde visite. Le stratagème fonctionnait parfaitement : l’homme se présentait à nouveau, toujours déguisé, sans soupçonner qu’il marchait droit vers sa perte.

L’étau se refermait inexorablement sur celui qui pensait avoir trouvé le crime parfait.

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L’Effondrement Et Les Aveux Chocs

Face aux enquêteurs qui venaient de lever le voile sur sa supercherie, l’infirmier de 57 ans ne parvenait plus à maintenir sa façade. L’homme qui avait orchestré cette imposture pendant trois années s’effondrait littéralement, victime d’un malaise qui trahissait l’ampleur du choc psychologique.

Démasqué et sans échappatoire possible, le quinquagénaire abandonnait toute résistance. Les aveux qui suivaient révélaient une réalité bien plus sombre que la simple escroquerie financière initialement suspectée. L’homme reconnaissait avoir délibérément dissimulé le décès de sa mère, survenu en 2022 de causes naturelles, lorsque l’octogénaire avait rendu son dernier souffle à l’âge de 82 ans.

Cette révélation soulevait immédiatement une question cruciale : où se trouvait donc le corps de la défunte ? Car pendant ces trois années de silence, aucune déclaration officielle de décès n’avait été effectuée auprès des autorités compétentes. L’absence totale de démarches administratives permettait de comprendre comment l’escroquerie avait pu perdurer aussi longtemtemps sans éveiller les soupçons de l’Institut national de la sécurité sociale.

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Les enquêteurs prenaient alors conscience qu’ils ne faisaient face ni à une simple fraude sociale ni à une négligence administrative, mais à une affaire autrement plus grave nécessitant des investigations approfondies.

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La Découverte Macabre Et Les Poursuites Judiciaires

La perquisition ordonnée par les enquêteurs apportait rapidement une réponse glaçante à leurs interrogations. Dans la buanderie de la cave familiale, enveloppée dans un simple sac de couchage, la dépouille momifiée de l’octogénaire était découverte. Le corps de la mère, décédée trois ans plus tôt, avait été dissimulé dans les lieux les plus reculés de la propriété familiale.

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Cette macabre révélation transformait radicalement la nature de l’affaire. Ce qui avait débuté comme une enquête pour fraude sociale prenait désormais une dimension criminelle d’une tout autre ampleur. Les restes de la défunte étaient immédiatement transférés dans une morgue pour subir des examens complémentaires destinés à confirmer les circonstances exactes du décès.

L’enquête judiciaire s’intensifiait pour faire la lumière sur tous les aspects de cette affaire hors du commun. Les autorités devaient notamment déterminer si la mort était effectivement survenue de causes naturelles, comme l’affirmait l’accusé, et comprendre les motivations qui avaient poussé cet infirmier à orchestrer une dissimulation aussi élaborée.

Le quinquagénaire risquait désormais de lourdes sanctions pénales. Aux charges de fraude à l’Institut national de la sécurité sociale s’ajoutait une inculpation pour dissimulation de cadavre, délit passible de plusieurs années d’emprisonnement. L’ampleur financière de l’escroquerie, qui représentait près de 108 000 euros sur trois années, aggravait considérablement son dossier judiciaire.

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