📌 « J’étais prête à tout » : la méthode radicale de cette retraitée de 78 ans pour récupérer sa maison

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Posted 30 août 2025 by: Admin #Actualités

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Un Retour De Vacances Cauchemardesque

Pour Montserrat Riera, 78 ans, juillet 2024 devait marquer une parenthèse de bonheur familial. Cette résidente de Sant Martí de Tous, petite commune catalane nichée à l’ouest de Barcelone, avait accepté l’invitation de son fils pour des vacances sur la Costa Brava. Un départ exceptionnel pour cette septuagénaire qui n’avait pas quitté sa demeure depuis plusieurs années.

Accompagnée de son fils et de ses petits-fils, elle savoure enfin ces moments de détente estivale, loin de sa routine quotidienne. La mer, les rires des enfants, les repas en famille : tout concourt à faire de ces vacances un souvenir précieux après tant d’années passées entre les murs familiers de sa maison.

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Mais le réveil est brutal. À son retour dans son foyer de Sant Martí de Tous, Montserrat découvre l’impensable : cinq individus ont pris possession de sa propriété. Pire encore, les intrus ont poussé l’audace jusqu’à changer la serrure, transformant la propriétaire légitime en étrangère devant sa propre porte.

L’incompréhension le dispute à la colère chez cette femme qui pensait retrouver le calme de sa retraite. Les squatteurs, installés comme en terrain conquis, semblent déterminés à ne pas céder facilement leur nouvelle appropriation. Face à cette situation inédite, la septuagénaire va rapidement montrer qu’elle n’entend pas se laisser déposséder sans réagir.

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La Riposte Controversée Aux Guêpes

Face à cette appropriation illégale, Montserrat Riera ne reste effectivement pas passive. Sa riposte, aussi inattendue qu’audacieuse, marque un tournant dans cette affaire de squattage : la septuagénaire décide de jeter un nid de guêpes à l’intérieur de sa propre maison pour contraindre les occupants indésirables à quitter les lieux.

Cette méthode pour le moins originale révèle toute la détermination de cette femme attachée à son foyer. « C’était comme un coup de poignard dans le dos. C’est ici que je vis avec mon mari, où j’ai élevé mes enfants », confie-t-elle à la radio espagnole Cope, exprimant la profondeur de son attachement émotionnel à cette demeure chargée de souvenirs.

L’intensité de sa réaction ne se limite pas à ce premier geste. Montserrat Riera affiche une détermination sans faille : « Je ne pouvais pas rester les bras croisés […] Je jetterai à nouveau des guêpes ou n’importe quel autre insecte ». Cette déclaration illustre sa volonté de récupérer coûte que coûte sa propriété, quitte à employer des moyens peu conventionnels.

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Loin d’être intimidés par cette attaque entomologique, les squatteurs ripostent en menaçant de porter plainte contre la propriétaire légitime. Cette escalade transforme un conflit de propriété en bataille juridique complexe, où les rôles traditionnels de victime et d’accusé semblent paradoxalement inversés par les mécanismes légaux espagnols.

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Un Piège Juridique Complexe

Cette menace de plainte révèle en réalité une faille majeure du système juridique espagnol dont profitent les squatteurs. Car si Montserrat Riera se bat pour récupérer ce qui lui semble légitimement appartenir, la réalité légale s’avère bien plus tortueuse qu’il n’y paraît.

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Le premier obstacle surgit d’une subtilité administrative cruciale : la propriété n’est pas enregistrée au nom de la septuagénaire, mais à celui de son fils qui réside à Barcelone. Cette particularité, apparemment anodine, transforme immédiatement la donne juridique et complique considérablement les démarches d’expulsion.

Mais le véritable piège se referme avec le statut accordé au logement. Aux yeux de la loi espagnole, cette demeure est considérée comme une résidence secondaire, bien que Montserrat y vive quotidiennement depuis des années. Cette classification administrative réduit l’occupation illégale à un simple délit, privant ainsi la famille de toute possibilité d’expulsion immédiate.

Cette technicité juridique protège paradoxalement les squatteurs qui bénéficient de délais procéduraux étendus. Pendant que les mécanismes légaux s’enlisent dans leurs méandres administratifs, les occupants illégaux peuvent tranquillement s’installer dans le foyer familial, profitant d’un système qui semble davantage protéger les intrus que la propriétaire légitime.

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La procédure judiciaire s’annonce déjà longue et incertaine, laissant la famille dans une impasse administrative frustrante.

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Une Injustice Qui Perdure

Cette impasse administrative se traduit par des conséquences dramatiques au quotidien pour Montserrat Riera. Chassée de son propre foyer, la septuagénaire a dû se résoudre à s’installer temporairement chez une amie, emportant avec elle le fardeau de l’incertitude et l’amertume de l’injustice.

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Son fils, témoin impuissant de cette situation aberrante, dénonce avec véhémence un système juridique qui semble avoir perdu de vue sa mission première : protéger les citoyens vulnérables. « C’est une injustice. Ma mère y habite, c’est sa maison, mais comme elle est à mon nom, on nous dit que cela pourrait prendre des mois pour la récupérer », déplore-t-il, résumant en quelques mots l’absurdité d’une situation où les technicités administratives priment sur l’évidence humaine.

Les mois mentionnés par les autorités ne sont pas une simple estimation : ils reflètent une réalité procédurale implacable qui condamne Montserrat à errer loin de ses repères, de ses souvenirs et de l’univers familial qu’elle a patiemment construit durant des décennies. Pendant que les squatteurs profitent de son salon, de sa cuisine et de ses chambres, elle découvre l’amère saveur de l’exil dans sa propre ville.

Cette affaire révèle les fissures profondes d’un système qui, sous prétexte de protéger les droits des occupants, abandonne les propriétaires légitimes à leur détresse administrative et émotionnelle.

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