📌 La psychologue Isabelle Castillola révèle : « Ce trait que votre entourage trouve agaçant… »

Posted 23 septembre 2025 by: Admin
La Révélation Qui Bouleverse Nos Idées Reçues
Ce petit défaut que votre entourage vous reproche sans cesse pourrait bien être votre plus grande force. Une révélation qui chamboule tout ce que l’on croyait savoir sur l’intelligence et les traits de personnalité.
Selon la psychologue Isabelle Castillola, ces comportements que nous jugeons parfois agaçants chez les autres – ou que nous cultivons nous-mêmes avec une pointe de culpabilité – ne sont pas de simples caprices de personnalité. Bien au contraire. Ces petites excentricités pourraient être les indices révélateurs d’un cerveau qui fonctionne à un niveau supérieur à la moyenne.
« Ces traits de caractère tant critiqués peuvent en réalité cacher une intelligence au-dessus de la moyenne », explique l’experte. Une perspective qui renverse complètement notre vision des défauts de personnalité et transforme ce qui était source de gêne en motif de fierté légitime.
Cette découverte scientifique remet en question des décennies de jugements sociaux. Finalement, ces manies que l’on cherche parfois à corriger ou à dissimuler seraient plutôt le signe d’un esprit vif et curieux qui carbure à plein régime. Plus question de culpabiliser : votre cerveau vous envoie peut-être des signaux que vous n’aviez jamais su décrypter.
Au-Delà Du QI : Quand La Personnalité Trahit L’Intelligence
Cette découverte d’Isabelle Castillola nous amène à questionner nos méthodes traditionnelles d’évaluation de l’intelligence. Car si le fameux QI reste notre référence, les chiffres ne racontent jamais toute l’histoire.
Rappelons d’abord les bases : un QI considéré comme normal se situe entre 90 et 110. Ceux qui dépassent légèrement cette moyenne, avec un score entre 110 et 120, sont reconnus comme ayant une intelligence supérieure à la plupart des gens. Au-delà de 130, on entre dans la catégorie des surdoués – ces cerveaux qui semblent parfois percevoir le monde en mode accéléré.
Les tests comme le WAIS demeurent la référence scientifique pour mesurer ces capacités cognitives. Pourtant, selon la psychologue Isabelle Castillola, dans des propos rapportés par le Journal des Femmes, cette approche chiffrée présente ses limites. « Certains traits de personnalité peuvent aussi trahir une intelligence au-dessus de la moyenne », précise l’experte.
En clair, notre façon de penser, d’aborder les problèmes ou même de percevoir le monde au quotidien peut donner autant d’indices révélateurs qu’un test standardisé. Une perspective qui élargit considérablement notre compréhension de l’intelligence et ouvre la voie à une reconnaissance plus nuancée des capacités intellectuelles. Ces comportements particuliers deviennent alors de véritables marqueurs cognitifs.
L’Esprit D’Escalier : Anatomie D’Un Super-Pouvoir Déguisé
Ces marqueurs cognitifs prennent une forme particulièrement révélatrice avec ce que les spécialistes appellent « l’esprit d’escalier ». Ce phénomène, familier à beaucoup, se manifeste quand les pensées partent dans tous les sens, quand on imagine toutes les réponses possibles à une discussion… mais trop tard, souvent une fois l’ascenseur descendu ou la réunion terminée.
Loin d’être un simple défaut social, ce comportement révèle en réalité un fonctionnement cognitif sophistiqué. Pour les personnes avec un QI supérieur à la moyenne, cette propension à réfléchir sur tout et rien n’est pas une faiblesse, mais un véritable super-pouvoir déguisé. Elle alimente une curiosité quasi insatiable et un besoin constant de comprendre le monde, que ce soit les sciences, l’art, les détails de la vie quotidienne ou même les comportements les plus anodins.
Cette tendance transforme ce qui était perçu comme un handicap relationnel en avantage intellectuel. Imaginez devoir répondre à trente-sept questions après une simple phrase : ce qui peut sembler chaotique pour l’entourage révèle surtout un cerveau qui connecte une multitude d’idées en parallèle.
« Ce qui est parfois perçu comme un défaut n’est souvent rien d’autre qu’un esprit vif et passionné », explique Isabelle Castillola. Un esprit toujours en quête de la meilleure façon de décoder la complexité du monde qui l’entoure.
La Science Derrière Le Phénomène : La Pensée Divergente Expliquée
Cette capacité à connecter une multitude d’idées en parallèle porte un nom précis en psychologie cognitive : la pensée divergente. Contrairement à la pensée convergente qui vise une solution unique, ce mode de réflexion explore simultanément plusieurs pistes, créant des connexions inattendues entre des concepts apparemment éloignés.
Les neurosciences confirment ce que les comportements révèlent : chez les personnes à haut potentiel intellectuel, l’activité cérébrale présente des schémas particuliers. Leur cerveau traite l’information différemment, établissant des ponts cognitifs là où d’autres ne voient que des éléments isolés. Cette hyper-connectivité neuronale explique pourquoi une simple conversation peut déclencher une cascade de réflexions apparemment désordonnées.
« La pensée divergente n’est pas un dysfonctionnement, c’est une richesse cognitive », précise la recherche contemporaine. Elle permet d’aborder les problèmes sous des angles multiples, de générer des solutions créatives et d’établir des liens conceptuels sophistiqués.
Cette particularité neurologique transforme ce qui était perçu comme un défaut social en avantage adaptatif. L’individu qui semble « partir dans tous les sens » fait en réalité preuve d’une flexibilité mentale remarquable, caractéristique des intelligences supérieures.
Un fonctionnement qui, loin d’être un handicap, révèle une architecture cérébrale optimisée pour la complexité du monde moderne.