📌 Les révélations de Vitaa chez Guillaume Pley : son enfance sans tabous et l’agression qui a tout changé

Posted 11 août 2025 by: Admin
La Foi Comme Pilier De Vie Et De Carrière
Invitée dans l’émission Legend de Guillaume Pley, Vitaa a levé le voile sur un aspect méconnu de sa personnalité : l’importance cruciale de sa foi dans son parcours d’artiste et sa vie personnelle. Une révélation qui éclaire d’un jour nouveau la discrétion légendaire de la chanteuse de 42 ans.
« Elle m’a aidée dans ma carrière, mais aussi dans ma vie, tout simplement », confie-t-elle sans détour. Cette spiritualité constitue selon ses propres mots son « secret » le mieux gardé, celui qui explique sa stabilité dans un milieu réputé pour ses excès. « Mon secret, c’est ça. On me dit tout le temps : ‘Tu n’as pas changé, tu es quelqu’un de simple.’ »
L’acolyte de Slimane assume pleinement son caractère sauvage hérité de son père, une nature authentique qui la tient à l’écart des mondanités du showbiz. « Je n’ai jamais été people, ni à l’aise dans ce métier. Être dans la lumière… Tu sors d’une émission télé, tout le monde va boire du champagne, etc., moi, je rentre chez moi », explique-t-elle.
Cette quête d’authenticité trouve son apaisement dans la spiritualité : « Mon apaisement, c’est ma foi ». Une philosophie de vie qui contraste singulièrement avec les méthodes éducatives qu’elle a elle-même reçues dans son enfance.
Confidences Sans Tabou Sur L’Éducation Reçue
Cette éducation dont elle garde précieusement les valeurs s’est pourtant construite sur des méthodes aujourd’hui controversées. Vitaa n’hésite pas à aborder frontalement le sujet des punitions corporelles qu’elle a subies enfant, assumant pleinement cette réalité sans détour ni regret.
« J’ai pris des fessées et des claques. Je m’en rappelle. Ça m’a fait du bien », révèle-t-elle avec une franchise déconcertante. La mère de Liham, Adam et Noa pousse même plus loin ses confidences : « J’ai pris beaucoup de fessées et je l’ai très bien vécu. Pas sur le coup », précise-t-elle, nuançant l’impact immédiat de ces corrections.
La chanteuse dresse le portrait d’un père au caractère dur mais juste, loin de toute violence gratuite : « Mon père m’en mettait une quand j’en avais besoin. Je lui répondais vraiment beaucoup. J’étais insolente », reconnaît-elle. Elle insiste sur le fait que son père ne battait « absolument pas », établissant une distinction claire entre correction éducative et violence.
Cette vision positive d’une éducation stricte révèle une femme qui refuse les tabous sociétaux actuels, assumant un héritage familial qu’elle considère comme formateur. Une position qui questionne sur ses propres méthodes parentales.
Une Mère Moderne Face Aux Défis Parentaux
Cette interrogation trouve rapidement sa réponse dans les révélations de Vitaa sur ses propres pratiques éducatives. Malgré son vécu positif des punitions corporelles, la chanteuse a fait le choix radical de rompre avec cette tradition familiale pour élever Liham, Adam et Noa.
« Je n’ai pas tapé mes enfants », assure-t-elle sans ambiguïté, marquant une rupture générationnelle assumée. Cette décision révèle une femme capable de faire la distinction entre ce qui l’a construite personnellement et ce qu’elle souhaite transmettre à ses enfants dans le contexte actuel.
La mère de famille semble avoir trouvé son propre équilibre éducatif, puisant dans les valeurs de fermeté héritées de son père tout en adaptant les méthodes aux réalités contemporaines. Une approche qui témoigne d’une réflexion profonde sur la parentalité, loin des automatismes ou des reproductions mécaniques.
Cette évolution personnelle illustre parfaitement les questionnements de toute une génération de parents, tiraillés entre l’héritage éducationnel reçu et les nouvelles approches pédagogiques. Vitaa incarne cette transition, assumant son passé sans pour autant le reproduire intégralement.
Mais au-delà de ces réflexions sur l’éducation, la chanteuse a également dû affronter des épreuves autrement plus traumatisantes dans sa vie de famille, marquées par la violence extérieure cette fois.
Le Traumatisme Du Cambriolage De Décembre 2023
Cette violence extérieure a pris la forme d’un cambriolage particulièrement brutal qui a marqué à vie Vitaa et sa famille en décembre 2023. Un épisode traumatisant que la chanteuse a accepté d’évoquer avec une sincérité bouleversante face à Guillaume Pley.
« Ce qui nous a sauvés, c’est qu’on dormait toujours avec l’alarme », révèle-t-elle, soulignant l’importance cruciale de cette précaution sécuritaire. Sans ce système, les conséquences auraient pu être dramatiques pour toute la famille.
Le récit qu’elle livre de cette nuit d’horreur glacera le sang de nombreux parents. « Je les entends taper, ils ne sont pas encore entrés. Donc, on sait que, quand ils vont ouvrir la porte, ça va s’enclencher. Ils défoncent la porte de mon dressing, qui est au même étage que moi. Au deuxième coup, je suis debout », détaille-t-elle avec une précision qui trahit l’impact indélébile de ces instants.
Au-delà de la violence physique de l’intrusion, c’est le choc psychologique qui frappe le plus dans son témoignage. « Je n’ai pas de mots, je ne peux pas parler, mon ventre est bloqué. Je parlais, mais c’est comme si ma voix ne sortait pas », confie-t-elle, décrivant ces symptômes caractéristiques du trauma.
Cette épreuve révèle une autre facette de la personnalité de Vitaa, confrontée pour la première fois à une vulnérabilité qu’aucune foi ne pouvait prévenir.