📌 Matthieu Delormeau quitte le plateau après avoir traité Louis Boyard de « débile » : « C’était une connerie… »

Posted 2 décembre 2025 by: Admin
L’Incident En Direct : Quand Un Débat Sur Noël Dérape
Ce 1er décembre, le plateau de Tout beau, tout n9uf s’embrase autour d’une polémique municipale inattendue. La ville de Nantes a décidé de faire disparaître le mot « Noël » dans la commune et sur ses marchés traditionnels, une décision qui divise violemment les chroniqueurs.
Gilles Verdez prend position en défendant le choix de l’élue locale Johanna Rolland face à une Géraldine scandalisée : « La maire de Nantes, je lui fais plus confiance qu’à vous ! » lance-t-il. Son argument clé ? « C’est une élue du peuple ! » Selon lui, cette décision répond à une demande des habitants de la ville.
Mais l’indignation gagne rapidement l’ensemble du plateau. Personne ne partage l’avis de Verdez. C’est alors que Matthieu Delormeau franchit la ligne rouge avec une comparaison aussi brutale qu’inappropriée : « Mais et alors ? Bouillard, il a été élu, et c’est un débile ! » Le silence se fait instantanément.
La réaction de Cyril Hanouna ne se fait pas attendre. « Tu peux pas dire ça ! Aujourd’hui, tu dis que des conneries » martèle l’animateur de W9, visiblement contrarié. Sans hésitation, il exige le départ immédiat de son chroniqueur du plateau. Delormeau quitte les lieux sous le regard médusé de ses collègues, conscient de la gravité de son dérapage en direct.
Le Contexte : Un Débat Municipal Qui Enflamme Le Plateau
L’origine de cet incident trouve sa source dans l’argumentaire défendu par Gilles Verdez. Face à Géraldine et aux autres chroniqueurs, il justifie la décision de la mairie nantaise en invoquant la légitimité démocratique : « Elle a été élue quand Géraldine ? C’est une élue du peuple ! » répète-t-il avec insistance.
Cette défense acharnée repose sur une conviction : Johanna Rolland aurait pris cette mesure en réponse à des préoccupations réelles de certains habitants dérangés par le terme « Noël ». Un argument qui peine à convaincre ses collègues, bien au contraire.
Le plateau s’embrase progressivement. L’isolement de Verdez devient flagrant face au rejet collectif de son raisonnement. Cette opposition frontale crée une tension palpable qui monte crescendo. Chacun conteste cette lecture de la décision municipale, dénonçant une dérive incompréhensible.
C’est précisément cette escalade verbale qui précipite le dérapage de Matthieu Delormeau. Exaspéré par l’argument démocratique brandi par Verdez, il cherche à le démonter en établissant une comparaison toxique avec Louis Boyard. Le chroniqueur voulait prouver qu’une élection ne garantit pas la pertinence des positions défendues. Mais en franchissant la limite de l’insulte personnelle, il transforme un débat politique tendu en incident majeur aux conséquences potentiellement lourdes pour l’émission.
Les Excuses En Plateau : Retour Et Reconnaissance D’Erreur
Quelques minutes suffisent pour que Matthieu Delormeau réapparaisse sur le plateau. Visiblement conscient de la gravité de son propos, il sollicite immédiatement la parole pour réparer sa faute en direct.
« Je peux dire un mot, très court ? Juste parce que j’ai été maladroit tout à l’heure donc je m’excuse auprès de Louis. En plus j’ai dit ‘débile’, le mot était mal choisi aussi. Bref, j’ai dit une connerie, je m’excuse », déclare-t-il sans détour. Une reconnaissance franche qui tranche avec l’ambiance électrique des minutes précédentes.
Cyril Hanouna saisit l’occasion pour poser un cadre clair devant les téléspectateurs. « Vous pouvez ne pas aimer quelqu’un, mais vous n’êtes pas obligé de le traiter de débile. Il y a plein de gens que je n’aime pas, je ne les traite pas de débile », explique l’animateur. Une ligne rouge rappelée publiquement, distinguant désaccord politique et attaque personnelle.
Cette séquence de réparation immédiate témoigne d’une prise de conscience des limites franchies. Le chroniqueur reconnaît non seulement l’erreur factuelle du nom mal prononcé, mais surtout la violence du terme employé. Un mea-culpa nécessaire mais qui ne suffira peut-être pas à effacer les conséquences d’un dérapage survenu en direct devant des milliers de téléspectateurs. L’émission avait déjà connu des polémiques impliquant Louis Boyard, ce nouvel incident risque d’alimenter un contentieux déjà sensible.
Les Conséquences Potentielles : Un Nouveau Contentieux Pour TBT9
Cette nouvelle sortie s’inscrit dans un historique déjà chargé. Louis Boyard a été la cible de plusieurs attaques dans l’émission par le passé, créant un passif contentieux entre le député et l’équipe de TBT9. Chaque incident alimente un dossier qui pourrait peser lourd face aux instances de régulation.
Malgré les excuses présentées, le cadre juridique reste implacable. L’Arpeej et le CSA examinent systématiquement les dérapages survenant à l’antenne, et les sanctions peuvent tomber même après réparation publique. « Vous pouvez ne pas aimer quelqu’un, mais vous n’êtes pas obligé de le traiter de débile », rappelait Cyril Hanouna. Une phrase qui sonne comme un aveu : le distinguo entre opposition politique et insulte personnelle n’a pas été respecté.
L’article source conclut sans détour : « cette sortie pourrait bien couter cher au trublion du PAF et son équipe ». Les enjeux dépassent la simple polémique d’un soir. Entre amendes potentielles, mise en demeure et risque d’image, l’émission se trouve à nouveau sous surveillance rapprochée.
La réaction immédiate de Cyril Hanouna témoigne d’une conscience aiguë des risques encourus. Expulser son chroniqueur, exiger des excuses publiques, rappeler les limites : autant de gestes destinés à limiter les dégâts. Mais dans un contexte où TBT9 accumule les controverses, cette nouvelle affaire renforce la fragilité d’un format déjà surveillé de près par les autorités de régulation.










