📌 Netflix : « Pro Bono », la série coréenne judiciaire saluée par les spectateurs qui passe inaperçue dans le top 10

Posted 22 décembre 2025 by: Admin
Pro Bono : Une Série Judiciaire Qui Passe Inaperçue Malgré Sa Qualité
Depuis quelques semaines, Netflix diffuse chaque samedi et dimanche de nouveaux épisodes de Pro Bono, une série judiciaire coréenne portée par Jeong Kyeong-ho. L’acteur, aperçu dans L’amour au rattrapage et déjà habitué aux rôles d’avocat après Oh My Ghost Clients en 2025, incarne cette fois un ancien procureur qui rejoint une équipe d’avocats offrant leurs services gratuitement à des clients démunis. Le concept pro bono, noble et porteur, s’inscrit dans la lignée des séries judiciaires coréennes qui séduisent régulièrement les audiences internationales, comme La voie du droit diffusée cet été.
Pourtant, malgré ces atouts, Pro Bono n’apparaît ni dans le top 10 français ni dans le classement mondial des fictions non anglophones de Netflix. La série reste écrasée par d’autres K-dramas comme Dynamite Kiss et Le prix des aveux, qui monopolisent l’attention. Cette invisibilité dans les algorithmes de recommandation contraste violemment avec l’enthousiasme de ceux qui ont franchi le pas. Sur Reddit, les témoignages affluent, révélant une pépite méconnue dotée de tous les ingrédients d’un succès : personnages ciselés, rythme maîtrisé, et une qualité d’écriture rare. Un paradoxe troublant pour une fiction qui mérite amplement sa place sous les projecteurs.
L’Enthousiasme Des Internautes Face À Cette Pépite Méconnue
Sur Reddit, les réactions ne trompent pas. Un utilisateur déclare sans détour que Pro Bono figure parmi ses « séries coréennes favorites » de l’année 2025. Il poursuit : « Les personnages, même en dehors des acteurs principaux, sont fantastiques et remplis de potentiel. J’ai aimé chaque scène ». L’aveu va plus loin encore : « Si je pouvais, je regarderais tout d’un coup, ou même chaque semaine pendant un an ». Cette ferveur révèle une série sans temps mort, capable de captiver du premier au dernier épisode.
Un autre internaute salue la performance de Jeong Kyeong-ho : « Je regarde toutes ses séries et je suis déjà très investi dans celle-ci ». L’acteur, habitué aux rôles d’avocat après Oh My Ghost Clients, confirme ici sa maîtrise du genre judiciaire. Mais c’est surtout la profondeur des personnages secondaires qui séduit. Contrairement aux fictions calibrées où seuls les héros comptent, Pro Bono soigne chaque protagoniste, offrant une galerie de portraits crédibles et attachants.
Un troisième témoignage établit une comparaison flatteuse avec The Trauma Code, autre succès coréen de Netflix : « Version judiciaire, avec un personnage principal intelligent, ambitieux et qui a bon cœur ». Ce rapprochement positionne la série au niveau des productions les plus exigeantes, centrées sur des héros moralement forts. De quoi inciter les indécis à tenter l’expérience avant le 11 janvier, date de diffusion du dernier épisode.
Un Acteur Habitué Aux Rôles D’Avocat Dans Un Univers Judiciaire Riche
Jeong Kyeong-ho ne découvre pas le prétoire par hasard. Après avoir incarné un avocat dans Oh My Ghost Clients diffusée en 2025, il endosse à nouveau la robe dans Pro Bono. Cette récurrence témoigne d’une spécialisation assumée : l’acteur, également vu dans L’amour au rattrapage, maîtrise les codes d’un genre exigeant. Son personnage d’ancien procureur qui rejoint une équipe « pro bono » – représentant gratuitement des clients démunis – lui permet d’explorer une dimension morale forte, loin des caricatures.
Les séries judiciaires constituent un pilier des K-dramas. La voie du droit, diffusée cet été, avait déjà confirmé l’appétit du public pour ces intrigues mêlant plaidoiries, dilemmes éthiques et rédemption. Pro Bono s’inscrit dans cette lignée, mais avec une approche plus humaniste : l’argent disparaît au profit de la justice sociale. Le concept « pro bono » apporte une fraîcheur narrative rare, éloignée des cabinets prestigieux et des affaires spectaculaires.
Cette expertise du genre explique en partie la solidité de l’ensemble. Chaque dossier traité sert de révélateur aux personnages, tandis que les audiences se transforment en moments de tension maîtrisée. Reste à savoir si cette qualité suffira à propulser la série dans les classements avant le 11 janvier, ultime date pour rattraper le retard.
Une Comparaison Flatteuse Et Une Diffusion À Suivre Jusqu’En Janvier
Cette solidité narrative n’a pas échappé aux observateurs les plus attentifs. Sur Reddit, un internaute établit un parallèle révélateur : « Cette série me rappelle The Trauma Code mais version judiciaire, avec un personnage principal intelligent, ambitieux et qui a bon cœur ». La référence pèse lourd. The Trauma Code, succès unanime sur Netflix, avait marqué les esprits par son rythme soutenu et son héros moralement irréprochable. Pro Bono transpose cette formule gagnante dans les tribunaux, substituant le scalpel au Code pénal.
Le personnage incarné par Jeong Kyeong-ho répond aux mêmes critères : brillance intellectuelle, détermination sans faille, et une intégrité qui refuse les compromis. Cette combinaison rare transforme chaque plaidoirie en démonstration de force, tout en préservant une humanité palpable. Les affaires traitées ne servent pas de prétexte à des rebondissements artificiels, mais révèlent les failles d’un système judiciaire sous pression.
La fenêtre de découverte reste ouverte : deux épisodes atterrissent chaque week-end sur Netflix jusqu’au 11 janvier. Pour ceux qui hésitent encore, le verdict des premiers spectateurs offre une garantie suffisante. Reste à transformer cet enthousiasme confidentiel en reconnaissance collective, avant que la diffusion ne touche à sa fin et que la série ne sombre dans l’oubli des algorithmes.










