📌 Pascal Praud révèle enfin son dernier salaire à TF1 : « 9000 euros, et puis ce gros chèque… »

Posted 10 octobre 2025 by: Admin
Révélations Sur Son Passage Mouvementé Au FC Nantes
Derrière l’image du polémiste aguerri se cache une confession inattendue. Pascal Praud brise le silence sur l’un des épisodes les plus douloureux de sa carrière : son passage à la direction du Football Club de Nantes. « Deux années surréalistes », confie-t-il sans détour à TV Mag-Le Figaro, révélant une expérience qui l’a profondément marqué.
L’animateur de L’Heure des pros ne mâche pas ses mots sur cette période de sa vie. « Nantes, c’était il y a quinze ans et en plus, j’étais mauvais », avoue-t-il avec une franchise désarmante. Cette confession prend une dimension encore plus saisissante quand il détaille les raisons de cet échec cuisant.
« Je n’avais pas confiance en mon jugement, je n’étais pas bon, je le savais, et c’était d’ailleurs assez humiliant », poursuit le journaliste. Un sentiment d’incompétence qui contraste singulièrement avec l’assurance qu’il affiche aujourd’hui sur les plateaux télévisés.
Pourtant, cette débâcle professionnelle s’est révélée être un tournant décisif. « Cette expérience est celle qui m’a le plus servi dans ma vie sur le plan humain », reconnaît Pascal Praud. Une leçon de vie qui lui a permis de redéfinir ses priorités et de retrouver sa véritable voie : « J’ai compris que mon métier, c’était le journalisme ».
Cette révélation éclaire d’un jour nouveau le parcours de l’homme qui n’avait pas toujours évolué dans l’univers médiatique.
Son Parcours Doré À TF1 : 20 Ans De Télé-Foot
Bien avant ses déboires nantais, Pascal Praud avait bâti sa réputation sur un terrain qu’il maîtrisait parfaitement : les plateaux de TF1. C’est dans l’univers télévisuel que le journaliste a forgé son expertise, notamment grâce à Téléfoot, l’émission phare du sport français où sa carrière a véritablement décollé.
Dès la fin des années 80, Pascal Praud intègre l’équipe de cette émission emblématique de la première chaîne. Un poste qu’il occupera avec succès pendant plus de quinze ans, jusqu’au milieu des années 2000, s’imposant comme une figure incontournable du journalisme sportif télévisé.
Son expertise reconnue lui vaut de couvrir les plus grands événements footballistiques de la planète. L’Euro 2004 au Portugal, puis la Coupe du monde 2006 en Allemagne marquent l’apogée de sa carrière sportive télévisuelle. Des rendez-vous planétaires qui confirment sa stature de spécialiste respecté dans le milieu.
À l’époque, TF1 ne lésinait pas sur les moyens pour s’attacher les services de ses talents. Cette générosité de la chaîne privée témoigne de la valeur accordée au travail de Pascal Praud, qui incarnait alors l’une des voix les plus écoutées du football français.
Cette période dorée sur la Une allait pourtant connaître un tournant inattendu, révélant les coulisses parfois impitoyables du monde télévisuel.
Le Salaire Qui Fait Rêver : 9000 Euros Mensuels Sur TF1
Cette générosité de TF1 ne se limitait pas aux moyens de production. Dans une rare confidence accordée à TV Mag-Le Figaro, Pascal Praud lève le voile sur sa rémunération à l’époque, révélant des chiffres qui témoignent de l’âge d’or du journalisme sportif télévisé.
Son dernier salaire sur la première chaîne s’élevait à 9000 euros mensuels, une somme qui reflète parfaitement la valeur accordée par TF1 à ses talents phares. « Mon dernier salaire sur TF1 était de 9000 euros », confie-t-il sans détour, assumant pleinement cette rémunération substantielle qui faisait de lui l’un des journalistes sportifs les mieux payés de l’audiovisuel français.
Mais les largesses de la chaîne ne s’arrêtaient pas là. Au moment de quitter TF1 après vingt années de bons et loyaux services, Pascal Praud a bénéficié d’un traitement de faveur exceptionnel. « J’ai eu droit à un gros chèque au moment de partir », révèle-t-il, évoquant cette prime de départ qui vient couronner deux décennies d’une collaboration fructueuse.
Ces révélations éclairent d’un jour nouveau l’économie du journalisme télévisuel des années 2000, une époque où les chaînes privées n’hésitaient pas à récompenser généreusement leurs vedettes. Un contraste saisissant avec les réalités économiques actuelles du secteur.
Pourtant, malgré ces conditions privilégiées, Pascal Praud allait bientôt découvrir que l’argent ne fait pas tout dans une carrière.
L’Éviction Brutale Et Le Choix Financier Risqué
Cette leçon amère, Pascal Praud l’apprendra à ses dépens dans les derniers mois de son passage à TF1. Malgré sa rémunération confortable, l’animateur sent le vent tourner au sein de la première chaîne. « À TF1, j’étais sur une voie de garage », confie-t-il avec amertume à nos confrères.
L’électrochoc survient en décembre 2003, quand la direction de TF1 procède à un remaniement brutal de Téléfoot. « **Thierry Gilardi** arrive, je suis viré de « Téléfoot » en décembre 2003, je travaille pour les journaux télévisés », retrace Pascal Praud, révélant les coulisses impitoyables de ce déclassement professionnel inattendu.
C’est dans ce contexte de mise à l’écart que surgit une proposition providentielle. Waldemar Kita, président du FC Nantes, lui tend une perche dorée qui bouleverse ses perspectives financières. « J’ai multiplié mon salaire par deux, j’avais **un appartement de fonction**, **une voiture** », détaille le journaliste, évoquant cette offre qui transformait ses 9000 euros mensuels en un package salarial de 18000 euros.
Pourtant, avec le recul, Pascal Praud livre une réflexion désabusée sur cette décision purement mercantile : « Cela prouve qu’il ne faut jamais faire les choses pour l’argent. » Un aveu qui prend tout son sens quand on connaît la suite de cette aventure nantaise.