📌 Patrick Sébastien avoue avoir changé d’avis : « Ces individus n’ont rien à faire ici… »

Posted 19 novembre 2025 by: Admin
Les Déclarations Polémiques Sur La Peine De Mort
Le 8 novembre dernier, Patrick Sébastien franchit une nouvelle ligne rouge sur le plateau des Grandes Gueules de RMC. En promotion de son ouvrage Même pas peur, l’ancien animateur de France Télévisions aborde sans détour un sujet tabou : la réintroduction de la peine capitale en France.
L’homme au franc-parler légendaire s’attaque frontalement au système carcéral français. « C’est n’importe quoi tout ce que j’entends sur les prisons, sur les peines », lance-t-il d’emblée, avant de formuler une proposition qui fait froid dans le dos. Patrick Sébastien revendique ouvertement le retour de la peine de mort pour certains criminels, conscient de la polémique qu’il déclenche.
« On va me traiter de n’importe quoi, de facho ou de ce que vous voulez, mais ces mecs-là on ne devrait plus en entendre parler », déclare-t-il sans ambages. Cette anticipation des critiques révèle une stratégie assumée : provoquer pour mieux faire passer son message radical.
Le chanteur de 72 ans questionne frontalement l’efficacité du système pénitentiaire actuel. « Quel est l’intérêt de mettre ce mec-là dans une prison ? Qu’est-ce que ça change de le faire disparaître ou de le garder ? », interroge-t-il avec une froideur calculée. Cette remise en cause brutale de l’approche française de la justice pénale marque un tournant dans les prises de position publiques de l’artiste.
L’Affrontement Direct Avec Un Chroniqueur
Cette interrogation provocante ne reste pas sans réaction sur le plateau de RMC. Un chroniqueur ose défier Patrick Sébastien en rétorquant que la peine de mort « ne dissuade pas » les criminels. L’échange vire immédiatement à la confrontation personnelle.
Patrick Sébastien abandonne alors tout débat théorique pour interpeller directement son contradicteur. « Tu as des enfants ? », lance-t-il sèchement. Face à la réponse affirmative du journaliste, l’ancien animateur sort l’artillerie lourde avec une question d’une violence saisissante.
« On massacre ton gamin, on le viole, on le tue, est-ce que tu as envie que la personne qui soit responsable de ça reste sur cette planète ? », assène-t-il sans ménagement. Cette mise en scène dramatique transforme le plateau en arène émotionnelle, forçant son interlocuteur à se projeter dans le pire des scénarios.
Le chanteur ne laisse aucune échappatoire : « Non, elle n’a rien à y faire », conclut-il avec une fermeté glaciale. Cette technique d’argumentation par l’émotion brute révèle une stratégie calculée pour déstabiliser ses opposants.
L’escalade verbale en direct illustre parfaitement la méthode Sébastien : transformer un débat de société en confrontation personnelle pour imposer sa vision radicale. Le plateau des Grandes Gueules devient le théâtre d’une joute où les arguments rationnels cèdent place à l’affect pur.
La Critique Du Système Judiciaire Français
Cette vision radicale s’appuie sur une analyse impitoyable du système judiciaire français que Patrick Sébastien juge profondément déséquilibré. L’artiste sort alors un exemple choc pour illustrer ses reproches : la récente condamnation de Nicolas Sarkozy.
« Sarko, il prend 5 ans, comme le mec qui a violé une petite fille », lance-t-il avec une amertume palpable. Cette comparaison saisissante révèle le cœur de son indignation : la proportionnalité des peines qu’il estime totalement aberrante. Pour lui, cette équivalence judiciaire constitue un déni de justice qui banalise les crimes les plus atroces.
Le chanteur élargit ensuite son diagnostic à l’ensemble de la société française. « On a un gros défaut dans cette société aujourd’hui », déplore-t-il avant de pointer du doigt ce qu’il considère comme une inversion des priorités. « C’est de s’attarder plus sur les coupables que sur les victimes », martèle-t-il avec conviction.
Cette dénonciation traduit une frustration profonde face à un système qu’il accuse de protéger davantage les criminels que leurs victimes. Patrick Sébastien dessine ainsi le portrait d’une justice française qu’il juge complètement déconnectée des attentes populaires, privilégiant selon lui une approche compassionnelle envers les bourreaux au détriment de la reconnaissance de la souffrance des victimes.
Cette charge frontale contre l’institution judiciaire prépare le terrain à des révélations encore plus personnelles sur l’évolution de ses convictions.
La Radicalisation Assumée D’Une Position
Cette évolution des convictions révèle un Patrick Sébastien qui assume pleinement sa radicalisation idéologique. L’artiste ne cache pas son changement de position, bien au contraire : il l’expose avec une franchise déconcertante.
« Moi foncièrement, j’étais contre la peine de mort », confesse-t-il en préambule, posant ainsi les bases d’un revirement spectaculaire. Cette confession spontanée dévoile un homme qui n’hésite plus à remettre en cause ses propres certitudes face à l’évolution de la société.
« Plus ça va, au vu de certains éléments aujourd’hui », poursuit-il en évoquant l’actualité criminelle récente qui a manifestement marqué ses réflexions. Le chanteur fait alors référence à des affaires qui l’ont particulièrement choqué : « je vois la bonne femme là qui a massacré la gamine, qui l’a violée ».
Cette allusion directe à des faits divers tragiques illustre parfaitement le processus qui l’a mené à durcir ses positions. Patrick Sébastien revendique désormais une approche sans concession, assumant pleinement les critiques que ces déclarations ne manqueront pas de susciter.
« Franchement pour moi ces gens-là n’ont rien à foutre sur Terre », conclut-il avec une brutalité verbale qui ne souffre aucune ambiguïté. Cette phrase définitive scelle un positionnement radical qui tranche avec l’image bon enfant que le public conserve de l’ancien animateur.










