📌 Rachida Dati se confie sans filtre : « Ma vie intime dérange certains hommes… »

Posted 14 juillet 2025 by: Admin
Rachida Dati Sort De Ses Gonds : « Ce Sont Des Voyous »
L’explosion de colère était prévisible. Rachida Dati monte résolument au créneau pour défendre son espace privé contre ce qu’elle juge être des attaques inqualifiables. L’affirmation récente du magazine Le Point concernant une assignation en reconnaissance de paternité visant Dominique Desseigne a déclenché sa furie. L’élue a catégoriquement démenti cette information, qu’elle qualifie de pure diffamation.
Sur BFMTV/RMC, elle annonce le lancement d’une procédure judiciaire contre le magazine. « La vie privée est la vie privée », martèle-t-elle avec une fermeté qui ne souffre aucune contradiction. Dati refuse toute immixtion dans son rôle de mère, dénonçant des années d’attaques violentes basées sur des ragots malveillants.
Ses mots tranchent comme une lame : « J’ai eu des livres à charges avec des calomnies faits par des soi-disant journalistes qui ne sont pour moi pas des journalistes. Ce sont des voyous. Je trouve ça honteux ». Son ton illustre une exaspération longtemps contenue, désormais libérée par cette énième intrusion.
Cette sortie musclée révèle une femme politique qui refuse de courber l’échine face aux rumeurs persistantes. Elle trace une ligne rouge infranchissable autour de son intimité, promettant des représailles judiciaires à quiconque oserait la franchir. Une détermination qui laisse présager d’autres révélations sur les véritables motivations de ses détracteurs.
Le Combat Féministe Inattendu De L’ancienne Garde Des Sceaux
Ces motivations, Rachida Dati les décrypte avec une lucidité tranchante. C’est avant tout « comme femme », bien plus que comme responsable politique, qu’elle estime être la cible de ces assauts répétés contre sa vie privée. L’ancienne Garde des Sceaux avance une analyse percutante pour expliquer cette hostilité persistante.
« Je pense que ma liberté gêne beaucoup et gêne aussi peut-être pas mal d’hommes », déclare-t-elle, suggérant des frustrations masculines face à son indépendance assumée. Elle réaffirme avec force un principe fondamental : « Ma vie intime n’est pas répréhensible ».
Son soutien récent à Valérie Trierweiler, qui a porté plainte contre les auteurs d’une biographie non autorisée, souligne ce combat contre les doubles standards. Elle dénonce vigoureusement le traitement médiatique inéquitable réservé aux femmes politiques comparé aux hommes.
« Pourquoi ne dévoilerait-on pas les quadruples, triples vies de certains hommes politiques ? », interroge-t-elle, déplorant une impunité masculine et une sévérité accrue envers les femmes. Ce sexisme structurel reste un de ses chevaux de bataille, contrastant singulièrement avec les rumeurs persistantes sur sa proximité passée avec Nicolas Sarkozy.
Cette dimension féministe méconnue du personnage révèle une femme politique qui refuse les injonctions traditionnelles. Une posture qui explique peut-être la virulence des attaques qu’elle subit depuis des années.
L’Affection Indéfectible Pour Nicolas Sarkozy Malgré La Disgrâce
Ces attaques ont d’ailleurs touché Rachida Dati dans ses loyautés les plus profondes. L’exclusion de la Légion d’honneur, conséquence de sa condamnation définitive dans l’affaire des écoutes, avait profondément ébranlé l’ancienne Garde des Sceaux. Son malaise provenait surtout d’un parallèle historique qu’elle jugeait infamant.
« J’ai beaucoup d’affection pour Nicolas Sarkozy. Pourquoi ça m’a choquée ? Parce que les gens font le parallèle avec le maréchal Pétain. Là, je trouve qu’il y a de l’indignité », avait-elle confié à Europe 1. Elle défendait alors l’ancien Président avec véhémence, rappelant son engagement et un acte de bravoure spécifique.
« C’est un homme qui s’est engagé pour la France […] il a sauvé plus d’une vingtaine d’enfants lors de la prise d’otages de Neuilly », plaidait-elle, évoquant cet épisode héroïque de 1993. Cette défense passionnée révèle une fidélité indéfectible qui transcende les vicissitudes politiques.
L’affection déclarée pour celui qui l’a propulsée au sommet de l’État résiste aux tempêtes judiciaires. Une loyauté qui contraste avec d’autres relations plus tumultueuses dans les cercles du pouvoir, où les malentendus peuvent naître des détails les plus inattendus.
Entre Chiens Et Malentendus : Les Relations Tumultueuses Avec Gabriel Attal
Ces détails inattendus ont justement nourri une polémique récente avec Gabriel Attal. Rachida Dati a dû démentir des propos virulents prêtés contre l’ancien Premier ministre, une affaire née d’un simple malentendu canin.
L’incident remonte à une visite à Matignon, où son chien Volta a manifesté une réaction pour le moins surprenante. « À Matignon, lorsque Volta m’aperçoit, il fuit », rapportait-elle à Paris Match. La ministre de la Culture aurait alors lancé : « Ton chien, il n’aime pas les Arabes ! ». Une remarque qui aurait pu déclencher une tempête médiatique.
Pourtant, l’ancienne députée européenne minimise l’incident avec une désinvolture assumée. Elle assure maintenir une bonne entente avec Attal malgré leur différence d’âge notable, balayant toute tension durable entre eux. Cette capacité à transformer une anecdote potentiellement explosive en simple malentendu révèle sa maîtrise des codes politiques.
L’épisode illustre parfaitement les subtilités des relations de pouvoir, où un comportement animal peut déclencher des quiproquos diplomatiques. Dati démontre ainsi sa capacité à naviguer entre franchise brutale et réconciliation stratégique, tout en laissant filtrer un intérêt plus marqué pour un ministre septuagénaire, preuve que ses préférences ne suivent pas les conventions d’âge.