📌 Son entourage s’inquiète : Nicolas Sarkozy ne mange plus que des yaourts en prison par peur d’être empoisonné

Posted 6 novembre 2025 by: Admin
L’Incarcération Difficile De L’Ex-Président
Depuis le 21 octobre 2025, les murs épais de la prison de la Santé, dans le XIVᵉ arrondissement parisien, abritent un détenu pas comme les autres. Nicolas Sarkozy, ancien président de la République, découvre une réalité carcérale brutale qui contraste violemment avec le faste de ses années élyséennes.
L’homme qui dirigeait la France se retrouve désormais menacé de mort et copieusement insulté par ses codétenus. Une chute vertigineuse qui nécessite une protection rapprochée permanente : deux officiers de sécurité l’accompagnent en permanence, témoignage éloquent de la tension qui règne entre ces murs.
« Ce n’est pas le Club Med ici », martèle sans détour Jean-Michel Darrois, son avocat, pour couper court aux rumeurs de traitement de faveur. La réalité dépeinte fait froid dans le dos : « Il est dans une cellule de 9 m², il y a du bruit tout le temps. Tous les prisonniers font du bruit, ils hurlent, ils tapent entre les murs ».
Dans ce vacarme incessant, l’époux de Carla Bruni tente de garder la tête haute en rédigeant ses mémoires entre les lectures. Mais cette activité littéraire ne suffit pas à masquer une réalité inquiétante qui dépasse le simple inconfort carcéral et touche aux besoins les plus élémentaires de sa survie quotidienne.
La Peur Au Ventre : Quand L’Alimentation Devient Un Danger
Cette survie quotidienne précaire révèle un aspect encore plus troublant de la détention de l’ancien chef d’État. Selon les révélations explosives du Point reprises par Gala ce jeudi 6 novembre, Nicolas Sarkozy refuse catégoriquement de toucher aux repas du centre pénitentiaire.
Une décision qui dépasse la simple délicatesse gastronomique : l’ex-président craint littéralement pour sa sécurité alimentaire. « Que quelqu’un ait pu cracher » dans son assiette, voilà l’angoisse permanente qui le tenaille, révélant une paranoïa compréhensible dans cet environnement hostile où les menaces de mort fusent quotidiennement.
Cette méfiance viscérale s’étend à tous les aspects de son alimentation carcérale. L’ancien maire de Neuilly-sur-Seine boycotte également la boutique interne de la prison, refusant d’acheter la moindre denrée qui pourrait avoir été manipulée. Quant à l’option de cuisiner lui-même dans sa cellule exiguë ? « Hors de question pour lui », tranche son entourage.
Cette stratégie de défiance totale transforme chaque repas en épreuve psychologique. Pour survivre, Nicolas Sarkozy ne consommerait désormais que « des yaourts », seule nourriture qu’il juge suffisamment sûre dans cet univers où chaque geste peut dissimuler une menace. Une alimentation drastiquement appauvrie qui commence sérieusement à inquiéter ses proches.
Un Régime De Survie Aux Conséquences Préoccupantes
Cette restriction alimentaire extrême soulève désormais de véritables alertes sanitaires. L’entourage de l’ancien président multiplie les signaux d’alarme face à un régime qui se limite exclusivement aux yaourts, une situation intenable sur le long terme pour un homme de 70 ans.
Les conséquences physiologiques d’une telle carence nutritionnelle ne tardent pas à se manifester. Privé de protéines complètes, de fibres et de vitamines essentielles, Nicolas Sarkozy s’expose à un affaiblissement progressif de son système immunitaire, précisément au moment où sa détention exige une résistance physique et mentale optimale.
Cette dépendance aux seuls laitages révèle également une incompétence culinaire totale qui aggrave sa situation. « Il ne sait pas se faire cuire un œuf ! Et puis, par principe, il s’y refuse », confie l’un de ses proches au Point. Cette incapacité pratique, conjuguée à son refus catégorique de tout compromis, le condamne à une survie alimentaire précaire.
L’ironie frappe cruellement : l’homme qui dirigeait la France et ses fastes gastronomiques se retrouve aujourd’hui dans l’incapacité la plus élémentaire de subvenir à ses besoins nutritionnels. Cette déchéance culinaire symbolise brutalement la chute vertigineuse d’un ancien maître des lieux de pouvoir, désormais réduit à négocier sa survie quotidienne avec les contraintes d’un univers carcéral impitoyable.
Du Palace À La Cellule : La Chute Gastronomique D’Un Gourmand
Cette déchéance alimentaire contraste brutalement avec les fastes gastronomiques que connaissait Nicolas Sarkozy durant ses années présidentielles. L’homme qui survivait aux yaourts était alors un véritable gourmand régnant sur les cuisines de l’Élysée, au grand désespoir de Carla Bruni qui tentait de modérer ses excès.
« Son péché mignon, ce sont les viennoiseries », révélait Jean-Michel Cohen, le nutritionniste réputé appelé à la rescousse pour freiner la prise de poids présidentielle. Face aux kilos qui s’accumulaient, le spécialiste avait trouvé une solution inattendue : remplacer les pâtisseries par des chouquettes, « la viennoiserie la moins calorique ».
Mais la nature obsessionnelle de l’ancien président transforma rapidement ce conseil diététique en véritable manie palatiale. « Il faut savoir que Nicolas est mono-obsessionnel, du coup, il n’y avait plus que ça à l’Élysée : des chouquettes à tous les étages », se remémore Jean-Michel Cohen avec amusement.
L’invasion des petits choux atteignit de tels sommets que les conseillers présidentiels supplièrent le nutritionniste d’intervenir : « Fais quelque chose, on n’en peut plus des chouquettes ». Cette anecdote savoureuse illustre cruellement l’abîme qui sépare désormais le maître des lieux de pouvoir du détenu affamé, réduit à une poignée de yaourts pour subsister derrière les barreaux.










