📌 Son ex-compagne révèle les détails troublants de ses aveux : « Il ne reste que les os… »

Posted 30 septembre 2025 by: Admin
Les Révélations Explosives De Justine C., Ex-Compagne De Cédric
Le silence pesant qui entoure l’affaire Jubillar s’est brutalement fissuré en juillet dernier. Une femme de 31 ans, Justine C., ancienne compagne de Cédric Jubillar, a livré un témoignage d’une violence inouïe devant la cour d’assises du Tarn. Ses mots, prononcés d’une voix tremblante, ont glacé l’assistance.
« Je lui ai demandé clairement si c’était lui qui avait tué Delphine. Il m’a répondu par l’affirmatif », a-t-elle déclaré sans détour. Mais les révélations de Justine C. ne s’arrêtent pas à cet aveu. L’accusé lui aurait dévoilé le mode opératoire avec un réalisme saisissant : « Il m’a dit qu’il l’avait étranglée et en même temps, il a fait le geste sur lui en mettant son bras autour de son cou ».
Les détails deviennent alors insoutenables. Selon son témoignage, Cédric Jubillar lui aurait confié que « il ne restait que les os et que rien ne pouvait le relier à lui comme étant l’auteur du meurtre ». Plus sordide encore, il aurait évoqué les circonstances de l’agonie : « Il m’a parlé de la couette et de la housse de couette, lorsqu’il l’a étranglée, elle s’est urinée dessus ».
Ces révélations, d’une précision troublante, soulèvent une question cruciale : comment Cédric Jubillar aurait-il organisé la disparition du corps de Delphine ?
La Stratégie De Dissimulation Présumée Du Suspect
Les révélations de Justine C. apportent des éléments troublants sur l’organisation présumée du crime. Selon son témoignage, Cédric Jubillar ne se serait pas contenté d’un passage à l’acte impulsif, mais aurait minutieusement planifié la disparition du corps.
La préméditation apparaît dans chaque détail rapporté. « Il avait le lieu pour dissimuler le corps depuis un mois, il l’avait repéré en allant travailler », aurait-il confié à son ancienne compagne. Cette révélation suggère une préparation méthodique, bien antérieure au drame de décembre 2020.
Le transport lui-même aurait été orchestré avec une prudence calculée. « Il a précisé qu’il a roulé au point mort et sans les phares jusqu’à la sortie de son quartier, et que le corps était recouvert par quelque chose », détaille Justine C. Ces précautions témoignent d’une volonté délibérée d’échapper à toute surveillance, qu’elle soit humaine ou technologique.
L’accusé aurait également manifesté une confiance troublante dans la réussite de sa stratégie. Sa certitude que « rien ne pouvait le relier à lui comme étant l’auteur du meurtre » révèle une personnalité qui se croit au-dessus de tout soupçon.
Ces éléments, s’ils se confirment, dessinent le portrait d’un homme persuadé de son impunité. Pourtant, face aux magistrats, Cédric Jubillar adopte une tout autre posture.
L’Attitude Provocatrice De Cédric Jubillar Au Procès
Dans son box des accusés, Cédric Jubillar offre un spectacle qui glace l’assistance. Loin de montrer la moindre contrition face aux révélations accablantes, l’homme reste fidèle à lui-même : flamboyant et provocateur.
Cette posture défie l’autorité judiciaire et heurte profondément les proches de Delphine. Chaque mimique, chaque regard lancé vers l’audience témoigne d’un détachement troublant face à la gravité des accusations. Son attitude tranche radicalement avec la solennité du moment et l’émotion palpable dans la salle.
Les membres de la famille Jubillar, présents pour entendre enfin la vérité sur la disparition de leur proche, subissent cette provocation quotidienne. Au grand dam de la famille et des proches de la victime, Cédric semble jouer un rôle, transformant ce procès en théâtre personnel.
Malgré les témoignages à charge qui s’accumulent, notamment celui de Justine C. et ses révélations sordides, l’accusé maintient fermement ses dénégations. Cette stratégie de déni absolu, couplée à son comportement théâtral, interroge sur sa psychologie profonde.
Les experts s’accordent sur un point : cette attitude peut révéler soit une innocence revendiquée, soit un mécanisme de défense face à une culpabilité écrasante. Pendant ce temps, d’autres zones d’ombre persistent dans ce dossier complexe.
Les Zones D’Ombre Persistantes Et Pistes Alternatives
Ces zones d’ombre prennent forme lors du témoignage attendu de Dominique Alzéari, ancien procureur de la République de Toulouse. L’homme reconnaît des « approximations » lors d’une conférence de presse en 2021, pointée du doigt par la défense comme étant à charge contre Cédric Jubillar.
« Il y a de toute manière un enchaînement », assure l’ancien magistrat, niant toute « collusion » avec la presse. Pourtant, ces aveux d’approximations soulèvent des questions sur la rigueur de l’instruction initiale.
Plus troublant encore, une piste alternative semble avoir échappé aux enquêteurs. Jean, l’amant de Montauban, entretenait une relation avec Delphine et pratiquait le BDSM. Cette figure mystérieuse, adepte des forums sombres du darknet, serait « passée entre les mailles du filet » selon les éléments du dossier.
Cette révélation interroge sur l’exhaustivité des investigations menées. Comment un homme aux pratiques suspectes, lié intimement à la victime, a-t-il pu échapper aux radars judiciaires ? Ses activités sur le darknet et sa proximité avec Delphine auraient mérité un examen approfondi.
Tandis que Cédric Jubillar continue de clamer son innocence dans le box des accusés, ces éléments soulèvent de nouvelles interrogations. L’enquête a-t-elle réellement exploré toutes les pistes ? Cette question plane désormais sur l’ensemble du procès, alimentant les doutes sur la solidité de l’accusation.