📌 Thierry Ardisson avait tout prévu : ce qu’il a demandé pour ses obsèques va vous surprendre

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Posted 17 juillet 2025 by: Admin #Divertissement

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Les Dernières Volontés D’un Homme De Télé : Quand Thierry Ardisson Orchestrait Sa Propre Fin

Même face à la mort, Thierry Ardisson n’a rien laissé au hasard. L’homme qui a révolutionné le paysage audiovisuel français avait minutieusement orchestré chaque détail de ses obsèques, prévues ce jeudi 17 juillet à 16h30 en l’église Saint-Roch. Une planification qui révèle toute la personnalité de celui qui contrôlait tout, jusqu’au bout.

« Le jour où je sentirai la fin approcher, je déciderai de tous les détails pour mon enterrement », avait-il confié au Parisien. Une promesse tenue à la lettre. Car derrière cette cérémonie « réservée aux invités » se cache une volonté bien précise : réunir symboliquement toutes les femmes qui ont compté dans sa vie.

L’animateur souhaitait la présence des trois épouses qui ont marqué son parcours, aux côtés de sa famille et de ses « potes ». Un choix qui en dit long sur sa conception des relations humaines et son besoin de réconciliation posthume. Cette démarche inhabituelle témoigne d’une personnalité complexe, capable d’assumer ses contradictions jusqu’dans la mort.

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L’inhumation, elle, se déroulera « dans la plus stricte intimité », respectant ainsi la dualité de l’homme : public dans ses derniers adieux, privé dans son repos éternel.

« Roch Never Dies » : Le Dress Code Et La Playlist D’un Adieu À La Hauteur Du Personnage

Cette planification minutieuse ne s’arrêtait pas aux invités. Thierry Ardisson avait transformé ses propres obsèques en véritable spectacle, fidèle à l’homme de télévision qu’il était. Sur le faire-part, une photo en noir et blanc porte l’inscription « Roch never dies », dernier clin d’œil à son surnom légendaire.

« Chers amis, chers ennemis, dernier bonsoir ! », peut-on lire sur l’invitation. Une formule qui résume parfaitement l’esprit Ardisson : provocateur jusqu’au bout, capable de s’adresser simultanément à ses admirateurs et à ses détracteurs. Ce message posthume révèle son goût pour la théâtralité et son refus des conventions.

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Le dress code imposé ne surprendra personne : « Un dress code Ardisson » avec ou sans lunettes noires. L’homme en noir restera fidèle à son image jusqu’dans la mort, invitant ses proches à adopter son style reconnaissable entre mille.

« Je veux l’encens, les enfants de chœur… La totale ! », avait-il exigé. Même la bande sonore était arrêtée : Lazarus de David Bowie et In My Life des Beatles repris par Sean Connery. Des choix musicaux qui mêlent mélancolie et sophistication, à l’image de sa personnalité complexe.

Cette mise en scène grandiose confirme qu’Ardisson n’a jamais fait les choses à moitié.

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Le Carnet D’adresses Secret : Ces 7 Personnalités Choisies Pour Témoigner

Mais Ardisson ne s’est pas contenté d’orchestrer ses obsèques. Il a également préparé sa propre légende posthume. À l’annonce de sa disparition, un dossier de presse soigneusement élaboré par ses soins a été envoyé aux médias. Une dernière manipulation médiatique signée de sa main.

Le document révèle sept numéros de téléphone portable de personnalités triées sur le volet pour livrer des témoignages. Une sélection qui en dit long sur ses affinités réelles dans le milieu. Laurent Baffie figure en bonne place, tout comme les journalistes Franz-Olivier Giesbert et Léa Salamé. Sa productrice fidèle Catherine Barma et son amie Anne Méaux complètent ce cercle privilégié.

Le choix le plus symbolique reste celui de Marie-France Brière, celle qui lui a offert sa première chance à la télévision. Un geste de reconnaissance ultime envers celle qui a lancé sa carrière. Philippe Corti, proche collaborateur, boucle cette liste des élus.

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L’absence la plus criante ? Laurent Ruquier. Pourtant proches par le passé, les deux hommes avaient vu leur amitié se déliter avec le temps. Cette omission volontaire dans le carnet d’adresses posthume sonne comme un règlement de comptes silencieux.

« Des témoignages », précise sobrement le dossier. Même dans la mort, Ardisson continue de maîtriser son récit et de choisir ses porte-parole.

Le Contrôle Jusqu’au Dernier Plan : 16 Minutes D’archives Et Pas Une De Plus

Cette maîtrise du récit ne s’arrête pas aux témoignages. Ardisson a poussé son perfectionnisme jusqu’aux moindres détails de sa couverture médiatique posthume. Le dossier de presse révèle un contrôle absolu sur son image, jusque dans ses derniers instants.

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Des photos validées personnellement par ses soins accompagnent le kit envoyé aux rédactions. Pas question de laisser les médias fouiller dans leurs archives pour illustrer sa disparition. Chaque cliché a été scruté, approuvé, sélectionné selon ses critères esthétiques et symboliques.

Mais le clou du spectacle reste ailleurs. Seize minutes d’extraits de ses émissions ont été soigneusement compilées pour les journaux télévisés. Pas une seconde de plus, pas une de moins. Une sélection millimétrée qui résume quarante ans de carrière selon sa propre vision.

La consigne qui accompagne ces archives ne souffre aucune ambiguïté : « Aucun autre extrait n’est autorisé ». Un ultimatum posthume aux chaînes de télévision. Même mort, Ardisson impose ses règles et refuse toute liberté éditoriale aux médias qui l’ont fait roi.

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Cette interdiction formelle illustre une obsession : contrôler jusqu’au bout l’image qu’il laissera. Aucun bad buzz rétroactif, aucune séquence embarrassante, aucun moment de faiblesse. L’homme en noir orchestrait sa légende avec la précision d’un horloger suisse.

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