📌 Christian Estrosi s’invite à table et lance à Dupond-Moretti : « Je vais t’en coller une »

Posted 29 octobre 2025 by: Admin
L’Incident Au Restaurant : Quand Deux Poids Lourds De La Politique Se Défient
Une révélation du Canard Enchaîné vient éclairer d’un jour nouveau les tensions qui agitent les sphères politiques niçoises. Dans l’intimité feutrée d’un restaurant huppé de la Côte d’Azur, deux figures emblématiques de la scène politique française se sont livrées à un affrontement verbal d’une rare violence.
L’incident implique Éric Dupond-Moretti, ancien garde des Sceaux, et Christian Estrosi, maire de Nice. Ce soir-là, l’ancien ministre de la Justice savourait tranquillement son dîner, entouré de quelques proches dans l’établissement select. Rien ne laissait présager le drame qui allait se jouer.
L’atmosphère bascula brutalement lorsque Christian Estrosi fit une apparition impromptue. Sans invitation ni protocole, le maire de Nice rejoignit directement la table de Dupond-Moretti, semant immédiatement un malaise palpable parmi l’assemblée. Les convives, témoins malgré eux de cette intrusion, sentirent la tension monter dès les premiers instants.
Cette rencontre non planifiée entre l’ancien avocat du Nord, désormais propriétaire d’une résidence azuréenne, et l’édile niçois allait rapidement dégénérer. Dans ce cadre luxueux où règne habituellement la discrétion, les codes de la bienséance s’apprêtaient à voler en éclats. Les premiers mots échangés annonçaient déjà la couleur d’un affrontement qui dépasserait largement le simple malentendu politique.
Escalade Verbale : Les Insultes Qui Ont Fait Trembler La Côte D’Azur
Ces premiers mots échangés révèlent immédiatement la nature explosive de la confrontation. Christian Estrosi, encore convalescent de son Covid, lance avec un sourire narquois : « Ici, je suis avec de vrais amis ! » Une provocation à peine voilée qui vise directement l’ancien garde des Sceaux et son entourage.
La riposte de Dupond-Moretti ne se fait pas attendre. Habitué aux joutes verbales du barreau, l’ancien avocat ajuste son tir avec une précision chirurgicale : « Toi, t’es surtout un courtisan permanent ! » L’attaque touche au cœur de la réputation politique d’Estrosi, pointant ses revirements d’alliance au fil des mandats.
Le maire de Nice, piqué au vif, contre-attaque en visant la carrière d’avocat médiatique de son adversaire : « Espèce d’intermittent du spectacle ! » Une allusion mordante aux nombreuses apparitions télévisées qui ont fait la notoriété de Dupond-Moretti avant son passage au gouvernement.
L’échange prend alors une tournure particulièrement crue. Sans perdre son flegme légendaire, l’ancien ministre assène : « Et toi, pas un intermittent de la connerie ! » Les témoins présents décrivent une atmosphère devenue irrespirable, chaque réplique alimentant davantage la spirale de violence verbale.
Dans ce ballet d’insultes raffinées, chaque protagoniste révèle sa stratégie : Estrosi mise sur l’attaque frontale quand Dupond-Moretti privilégie la précision de ses coups. Mais cette guerre des mots ne fait que commencer.
Menaces Physiques : Quand La Politique Frôle La Bagarre De Bistrot
Cette escalade verbale atteint rapidement son paroxysme. Les voix montent, la tension devient palpable dans le restaurant huppé niçois. Christian Estrosi, visiblement hors de lui, franchit alors une ligne rouge en proférant une menace directe : « Je vais t’en coller une ! »
L’instant suspend son vol. Les convives se figent, témoins d’une scène qui transforme soudain ce lieu raffiné en vulgaire comptoir de bistrot. Face à cette menace physique explicite, Éric Dupond-Moretti conserve un calme déconcertant. L’ancien avocat, habitué aux confrontations les plus tendues des prétoires, ne cille pas.
Sa réponse, délivrée d’un ton posé mais ferme, résonne comme un défi : « On sort, si tu veux ? » Cette invitation au combat, formulée avec une tranquillité glaçante, révèle toute la maîtrise de l’ancien garde des Sceaux. Là où Estrosi laisse exploser sa colère, Dupond-Moretti canalise la sienne en proposition concrète.
Le rapport de force bascule instantanément. Face à cette détermination froide, le maire de Nice, accompagné de son épouse Laura Tenoudji, mesure soudain les enjeux. Les témoins présents décrivent un moment de flottement, où la réalité de l’affrontement physique prend corps.
C’est finalement Estrosi qui recule, préférant éviter l’irréparable. Mais cette retraite tactique ne signifie pas pour autant la fin des hostilités.
Épilogue Explosif : Une Sortie En Fanfare Qui Marque Les Esprits
Cette retraite stratégique ne désarme pourtant pas totalement Christian Estrosi. En quittant la table, le maire de Nice livre une dernière salve, aussi cinglante qu’inattendue : « Tu seras bientôt oqtf à Nice ! » Cette référence à l’Obligation de Quitter le Territoire Français, normalement réservée aux étrangers en situation irrégulière, constitue un affront politique majeur.
Laura Tenoudji, épouse du maire et témoin privilégiée de cette joute verbale, assiste médusée à cette finale explosive. L’incident, bien que clos sans heurts physiques, laisse une atmosphère empoisonnée dans l’établissement niçois.
Le silence radio observé depuis par les deux protagonistes en dit long sur l’embarras suscité par cet épisode. Ni l’ancien garde des Sceaux ni le maire de Nice n’ont souhaité commenter publiquement cette altercation qui détonne avec leur statut de figures respectées de la République.
Dans les cercles politiques locaux, l’affaire fait pourtant grand bruit. Cette querelle de restaurant révèle les tensions souterraines qui agitent les élites de la Côte d’Azur, où les enjeux de pouvoir et les ego surdimensionnés transforment parfois un dîner mondain en ring de boxe improvisé.
L’écho de cette confrontation continue de résonner, marquant durablement les esprits et questionnant l’image publique de ces deux poids lourds de la scène politique française.










