📌 Fabien Lecoeuvre traité d' »escroc » en direct : pourquoi il a quitté le plateau de Cyril Hanouna

Posted 5 novembre 2025 by: Admin
L’Éclatement De L’Incident En Direct
Le plateau de Tout beau Tout n9uf a viré au cauchemar en quelques minutes. Ce qui devait être une simple chronique people s’est transformé en règlement de comptes public, sous l’œil des caméras et devant des milliers de téléspectateurs médusés.
Tout commence par des rires. Fabien Lecoeuvre, 66 ans, présente ses « infos inutiles » quotidiennes quand l’hilarité générale gagne progressivement le plateau. De Mathieu Delormeau à Géraldine Maillet, chaque chroniqueur laisse échapper des gloussements qui finissent par créer une cacophonie moqueuse. Valérie Benaïm elle-même succombe à l’ambiance dissipée.
Mais l’attaché de presse ne l’entend pas de cette oreille. Tentant de garder son sérieux professionnel, Fabien Lecoeuvre commence à montrer des signes d’agacement visible. « Ça ne vous intéresse pas ce que je dis, non ? » lance-t-il, la voix teintée d’amertume. Un premier avertissement que personne ne prend au sérieux.
L’escalade devient inévitable quand Lecoeuvre, excédé par l’attitude de Matthieu Delormeau, lui fait remarquer : « Avoir un turbulent à côté de soi, c’est compliqué ». La réplique de l’ex-gardé à vue claque comme un coup de fouet : « Avoir un escroc aussi, je suis désolé ! »
Cette insulte directe fait exploser la situation. Le mot « escroc » résonne dans le studio, franchissant la ligne rouge de l’humour télévisuel.
Les Coulisses De L’Info People Qui A Tout Déclenché
Cette insulte trouve pourtant ses racines dans un contenu apparemment anodin. Fabien Lecoeuvre avait débuté sa chronique par une révélation sur Amanda Lear, affirmant que la star consommerait quatre litres d’eau quotidiennement. Une information que Cyril Hanouna balaye d’un revers de main : « Merci, merci, c’était l’info du jour de Fabien. On s’en fout total, on s’en tape. »
Mais le chroniqueur ne s’arrête pas là. Il enchaîne avec les révélations exclusives du magazine Voici concernant le clan Renaud, plongé dans un conflit familial majeur. Les détails qu’il livre sont pourtant croustillants : tensions entre Cerise, l’épouse du chanteur, et Lolita, sa fille, qui a boycotté le mariage de son père.
L’ironie de la situation réside dans cette contradiction flagrante. Pendant que Fabien Lecoeuvre dévoile des informations people potentiellement explosives sur l’une des figures les plus emblématiques de la chanson française, ses collègues ne lui accordent aucun crédit. Les rires fusent de toutes parts, transformant sa chronique sérieuse en numéro de cirque involontaire.
Cette atmosphère de moquerie générale révèle un malaise plus profond : le décalage entre l’expertise revendiquée du spécialiste people et la perception qu’en ont ses pairs, désormais convaincus que ses « scoops » ne méritent que dérision.
La Sortie Spectaculaire Et La Réaction De L’Équipe
Cette dérision permanente finit par atteindre ses limites. Face aux rires incessants, Fabien Lecoeuvre tente une dernière mise au point : « Avoir un turbulent à côté de soi, c’est compliqué », lance-t-il en regardant Matthieu Delormeau. La réplique fuse immédiatement : « Avoir un escroc aussi, je suis désolé ! »
Le mot de trop vient d’être prononcé. L’insulte fait exploser le spécialiste people qui, sans un mot d’explication, rassemble ses affaires et quitte le plateau en direct. « Non, non, ça… » marmonne-t-il en effectuant ses « clics et ses clacs » sous l’œil des caméras. Un départ spectaculaire qui plonge soudainement le plateau dans l’embarras.
Cyril Hanouna réagit immédiatement pour limiter les dégâts : « Non non non, c’est pas bien, excuse-toi ! » exige-t-il de Matthieu Delormeau. Mais l’ex-détenu refuse de reconnaître sa faute, préférant minimiser l’incident en accusant son collègue de manquer de second degré.
Pour justifier sa position, Delormeau évoque les surnoms peu flatteurs que subissent les autres chroniqueurs : « Moi ils m’appellent bien le taulard ! » Valérie Benaïm tente de désamorcer la tension : « Et moi ils disent bien que j’ai une moustache, il faut avoir un peu d’humour ! »
Malgré les applaudissements nourris du public pour encourager son retour, Big Glaoui ne réintègre finalement le plateau qu’à contrecœur, laissant planer un malaise palpable sur la fin d’émission.
Le Retour Forcé Et La Réconciliation Sous Pression
Ce malaise télévisuel révèle les rouages impitoyables du direct. Face aux caméras qui tournent, la machine de l’entertainment doit continuer, quitte à forcer une réconciliation artificielle. Les applaudissements du public résonnent comme une injonction : l’incident doit se transformer en spectacle récupérable.
Matthieu Delormeau maintient sa position défensive, refusant catégoriquement de présenter des excuses sincères. Sa stratégie consiste à banaliser l’insulte en évoquant les petites humiliations quotidiennes que subissent tous les chroniqueurs. « Moi ils m’appellent bien le taulard ! » argue-t-il, tentant de diluer sa responsabilité dans un relativisme généralisé.
Cette logique de normalisation trouve un écho chez Valérie Benaïm : « Et moi ils disent bien que j’ai une moustache, il faut avoir un peu d’humour ! » Le plateau tente collectivement de requalifier l’incident en simple plaisanterie mal interprétée.
Pourtant, le retour de Fabien Lecoeuvre trahit une réconciliation de façade. Malgré les encouragements appuyés du public, Big Glaoui réintègre son siège avec une réticence visible. Ses gestes mécaniques et son expression fermée contrastent avec l’ambiance artificielle que l’équipe s’efforce de recréer.
Cette séquence illustre parfaitement les codes non-dits de la télévision : peu importe la gravité de l’affront, le show doit continuer. La réconciliation devient un numéro supplémentaire, orchestré pour préserver l’image de convivialité indispensable à l’émission.










