📌 Fake news sur CNews : un salon de thé algérien lance « la bûche interdite » pour tourner en dérision la polémique

Posted 26 décembre 2025 by: Admin
La Fake News Et La Riposte Gourmande
Fin décembre 2025, une séquence diffusée sur CNews affirme que l’Algérie traquerait les bûches de Noël dans ses pâtisseries. Aucun décret, aucune source officielle ne vient étayer cette affirmation qui enflamme pourtant les réseaux sociaux français. L’information circule, se partage, s’amplifie, jusqu’à ce qu’un salon de thé du centre d’Alger décide de répondre avec une arme inattendue : l’humour pâtissier.
L’établissement lance « la bûche interdite CNEWS – édition limitée », une création ornée de l’inscription « Joyeux Noël CNews ». Derrière cette initiative gourmande se cache une réponse ludique mais percutante à la désinformation. Les clients dégustent une pâtisserie traditionnelle tout en participant, par ce simple acte de consommation, à la démonstration de l’absurdité de la polémique.
Cette réaction créative transforme instantanément une fake news en objet de dérision collective. Là où certains auraient publié un communiqué formel, les commerçants algérois choisissent la voie de l’ironie culinaire. La bûche devient symbole, le dessert se mue en contre-récit factuel : non seulement elle n’est pas interdite, mais elle est désormais au cœur d’une campagne de communication savoureuse qui retourne le ridicule contre son émetteur initial.
Cette stratégie de riposte par la gastronomie n’est que le premier acte d’une contre-offensive médiatique qui va rapidement prendre de l’ampleur.
La Contre-Offensive Médiatique Algérienne
La chaîne publique AL24 News décide de répliquer par les faits. Une journaliste se rend directement dans les pâtisseries d’Alger, caméra à l’épaule, pour filmer ce que CNews prétend interdit. Les vitrines regorgent de bûches de Noël, déclinées en dizaines de variantes : chocolat, café, fruits exotiques. Les artisans pâtissiers témoignent face caméra de leurs ventes florissantes pendant les fêtes, certains affichent même des ruptures de stock.
Ce reportage terrain devient une arme de fact-checking visuel. Pas de longs discours ni de démentis officiels pompeux : les images parlent d’elles-mêmes. Les comptoirs débordent de créations festives, les clients algérois commandent leurs desserts de Noël sans la moindre entrave. La démonstration est imparable, presque embarrassante pour la chaîne française.
AL24 News diffuse ces séquences avec un ton délibérément léger, jouant sur le contraste entre la gravité des accusations initiales et la réalité triviale d’une Algérie qui célèbre simplement les fêtes de fin d’année. Cette stratégie médiatique transforme la vérification factuelle en spectacle divertissant, bien plus efficace qu’un communiqué de presse officiel.
Le reportage circule rapidement au-delà des frontières algériennes. Les réseaux sociaux s’emparent de ces images de vitrines débordantes, amplifiant une contre-narration qui va bientôt prendre une dimension virale inattendue.
L’Explosion Sur Les Réseaux Sociaux
Les captures d’écran de vitrines algéroises submergent Twitter, Instagram et Facebook. Les internautes transforment chaque bûche photographiée en munition contre CNews. Les mèmes se multiplient : montages parodiques d’émissions, fausses unes satiriques, détournements graphiques jouant sur l’absurdité de la fake news initiale.
Le tweet d’Impact (@ImpactMediaFR) publié le 26 décembre explose : « L’ALGÉRIE RIDICULISE CNEWS – ÉPISODE 2 ». La formulation suggère une récidive, une habitude presque routinière de désinformation. Les commentaires affluent, oscillant entre moquerie assumée et indignation face au traitement caricatural réservé à l’actualité algérienne par certains médias occidentaux.
Cette viralité dépasse largement la simple défense nationale. Les internautes algériens y voient un symptôme plus large : celui d’un journalisme français prompt à relayer des rumeurs non sourcées dès qu’elles concernent le Maghreb. Chaque partage devient un acte de contestation collective, chaque bûche photographiée une preuve supplémentaire d’une désinformation systémique.
La photo de « la bûche interdite CNEWS – édition limitée » circule particulièrement bien. Son inscription « Joyeux Noël CNews » cristallise l’ironie d’une nation qui répond à la calomnie par la créativité plutôt que par l’indignation formelle. L’humour devient arme de déconstruction massive, transformant une polémique télévisée en cas d’école viral sur les réseaux sociaux.
Quand La Gastronomie Devient Militantisme
Cette bûche n’est plus un simple dessert. Elle incarne désormais une résistance gourmande, un acte politique saupoudré de sucre glace. Chaque client qui la commande participe, par ce geste gustatif, à la déconfiture collective d’une fake news. Le salon de thé algérois transforme sa carte en manifeste, sa vitrine en tribune.
L’initiative dépasse largement le cadre commercial. Elle cristallise une exaspération face à un journalisme occidental prompt à relayer l’invérifiable dès qu’il concerne le Maghreb. La bûche devient symbole : elle prouve que l’humour et la culture culinaire peuvent fusionner pour démonter méthodiquement la désinformation.
L’épisode illustre la vitesse de propagation des rumeurs non vérifiées sur les réseaux sociaux et les ondes. Une simple affirmation lancée sur CNews, sans décret ni source officielle, enfle jusqu’à devenir polémique internationale. Puis se délite face aux preuves visuelles, aux reportages terrain, aux créations pâtissières satiriques.
Cette affaire restera dans les conversations de fin d’année 2025 comme un cas d’école : celui où une nation a répondu à la calomnie médiatique non par des communiqués officiels, mais par la créativité collective et le second degré assumé. La bûche interdite CNEWS – édition limitée » entre ainsi dans les annales d’une satire médiatique où la gastronomie devient arme de contestation ludique.










