📌 Gard : un psychologue de 50 ans disparu depuis le 22 décembre, la police judiciaire saisie de l’enquête

Posted 26 décembre 2025 by: Admin
L’Alerte : Un Professionnel De Santé Volatilisé En Pleine Période De Fêtes
Salah Bouabdallah, psychologue exerçant à Nîmes, a disparu entre le 21 et le 22 décembre. Une absence brutale et inexpliquée qui a immédiatement alerté ses proches en pleine période de Noël. L’homme, âgé d’une cinquantaine d’années, s’est volatilisé sans laisser la moindre trace, plongeant sa famille dans une angoisse croissante.
Face au silence inexplicable de ce professionnel de santé réputé stable, l’entourage a rapidement basculé dans l’urgence. La qualification officielle retenue révèle toute la gravité de la situation : « disparition très inquiétante ». Un terme qui, dans le jargon policier, signale une menace potentielle pour la vie de la personne disparue.
La famille a immédiatement lancé un appel à témoins diffusé massivement sur les réseaux sociaux. Une mobilisation qui traduit l’incompréhension totale face à cette disparition survenue au pire moment : celui où les familles se rassemblent traditionnellement. Pour accélérer les recherches et porter leur voix publiquement, les proches ont pris une décision inhabituelle : mandater Me Fahd Mihih, avocat chargé de relayer leurs inquiétudes et de maintenir la pression sur les autorités.
Aucun signe avant-coureur n’avait laissé présager cette disparition soudaine d’un quinquagénaire sans antécédents signalés. Le mystère reste entier.
La Réaction : Mobilisation Familiale Et Juridique Immédiate
Dès les premières heures suivant la constatation de l’absence, l’entourage de Salah Bouabdallah a choisi l’offensive plutôt que l’attente. La décision de mandater Me Fahd Mihih constitue un signal fort : la famille refuse de rester spectatrice et entend peser dans les recherches. Cette démarche, peu courante dans les premiers jours d’une disparition, révèle une inquiétude profonde et une volonté de mobiliser tous les leviers possibles.
L’avocat devient ainsi le porte-voix officiel de la famille, chargé de maintenir la pression médiatique et de relayer publiquement les préoccupations des proches. Un rôle stratégique qui vise à accélérer les investigations et à garder l’affaire sous les projecteurs, évitant qu’elle ne sombre dans l’oubli administratif.
Parallèlement, l’avis de recherche circule massivement sur les réseaux sociaux. Photos, description physique, derniers lieux fréquentés : la famille diffuse tous les éléments susceptibles de déclencher un témoignage. Cette mobilisation numérique transforme chaque partage en acte de solidarité, élargissant considérablement le périmètre des recherches au-delà des seuls moyens policiers.
La stratégie est claire : multiplier les points de contact, saturer l’espace public d’informations, provoquer le déclic qui permettra de retrouver le psychologue disparu. Pendant que la famille orchestre cette campagne d’urgence, les enquêteurs activent discrètement leurs propres protocoles.
L’Enquête : La Machine Judiciaire Se Met En Marche
La réactivité des autorités traduit la gravité accordée à ce dossier. Le 23 décembre, soit moins de 48 heures après la constatation de l’absence, la justice ouvre officiellement une enquête pour disparition inquiétante et saisit immédiatement la police judiciaire. Cette célérité procédurale, inhabituelle pendant les fêtes de fin d’année, confirme que les éléments remontés par la famille ont suffisamment alerté les enquêteurs pour déclencher un dispositif d’urgence.
Comme le précise Me Fahd Mihih, « la justice a saisi la police judiciaire de cette affaire » et « les investigations sont en cours ». La PJ de l’Hérault, réputée pour son expertise dans les affaires sensibles, pilote désormais les opérations. Plusieurs actes d’enquête ont déjà été réalisés, mais leur nature reste strictement confidentielle, conformément aux impératifs d’une investigation en cours.
Cette opacité ne signifie pas inaction. Exploitation des données téléphoniques, vérifications bancaires, auditions de l’entourage, reconstitution des derniers déplacements : autant de pistes techniques explorées loin des projecteurs. Les enquêteurs reconstituent méthodiquement le puzzle des dernières heures de Salah Bouabdallah, traquant le moindre indice susceptible d’expliquer cette volatilisation.
Le silence des investigations contraste avec le bruit médiatique orchestré par la famille. Deux stratégies complémentaires qui poursuivent le même objectif : retrouver au plus vite ce quinquagénaire dont chaque heure d’absence alourdit l’angoisse. Mais à ce stade, aucune certitude n’émerge.
Le Mystère : Toutes Les Pistes Restent Ouvertes
Face à cette absence de révélations, l’incertitude demeure totale. Me Fahd Mihih le confirme sans détour : « À ce stade, aucune piste n’est privilégiée et les investigations sont en cours. » Cette formule, loin d’être anodine, signifie que les enquêteurs n’ont écarté aucun scénario. Départ volontaire, accident, acte malveillant : toutes les hypothèses coexistent dans un brouillard inquiétant qui amplifie l’angoisse des proches.
L’opacité entourant les circonstances de la disparition alimente naturellement les interrogations. Pourquoi un psychologue établi, exerçant régulièrement à Nîmes, disparaîtrait-il brutalement en pleine période de Noël ? Aucun élément de contexte n’a filtré : ni tension familiale, ni difficultés professionnelles, ni signal d’alerte préalable mentionné publiquement. Cette absence d’information crée un vide narratif troublant.
Les enquêteurs accumulent les éléments factuels loin des regards, reconstituant minutieusement la chronologie des dernières heures de Salah Bouabdallah. Chaque détail compte : un message non envoyé, un rendez-vous manqué, une carte bancaire inutilisée. Ces indices silencieux dessinent progressivement un schéma que seule l’investigation révélera.
Pour la famille, cette incertitude devient insupportable alors que les jours s’égrainent. L’appel à témoins reste leur principale arme pour briser le silence et faire émerger un détail décisif. Un regard, une rencontre, une observation banale pourrait basculer l’enquête et transformer l’angoisse en soulagement.










