📌 Il avoue enfin ce qu’il faisait à son bébé de 2 mois : « Pour avoir du temps de qualité avec… »

Posted 1 septembre 2025 by: Admin
Le Crime Qui Révèle L’Égoïsme Parental
Derrière ce drame familial se cache une révélation glaçante sur les motivations d’Adam Canales. Ce père de famille de 33 ans a consciemment administré du Benadryl à son nourrisson de 2 mois, au moins deux fois par jour, selon les aveux qu’il a livrés aux autorités de Lubbock, au Texas.
L’antihistaminique, normalement prescrit pour combattre les allergies chez l’adulte, provoque une somnolence intense et n’est absolument pas conçu pour un usage pédiatrique. Canales le savait parfaitement. Pourtant, il a persisté dans cette pratique dangereuse pour une raison qui glace le sang : il voulait « passer du temps de qualité » avec son épouse.
Cette confession révèle l’ampleur de l’égoïsme parental. Le trentenaire plaçait ses désirs conjugaux au-dessus de la sécurité de son enfant, transformant son bébé en obstacle à éliminer plutôt qu’en priorité à protéger. Sa compagne, loin d’être une victime innocente, a également participé à l’administration de ces substances inappropriées.
Le couple complétait ce cocktail toxique avec du ZzzQuil, un complément alimentaire destiné exclusivement aux adultes pour faciliter l’endormissement. Deux parents, une même intention criminelle : endormir artificiellement leur nourrisson pour satisfaire leurs besoins personnels.
L’Overdose Fatale : Un Cocktail De Médicaments Inappropriés
Le 11 juillet 2021, les autorités de Lubbock découvrent le corps sans vie d’Athena Brigida-Kay Canales dans le domicile familial. Cette petite fille de 2 mois devient alors le symbole tragique d’une négligence parentale poussée à l’extrême.
L’autopsie révèle une vérité accablante : une overdose de toxicité mixte. Le rapport de toxicologie met au jour un cocktail mortel de substances actives dans l’organisme du nourrisson. Diphenhydramine, doxylamine, dextromethorphan : trois molécules aux effets dépresseurs puissants sur le système nerveux central, toutes interdites chez le nourrisson.
Les enquêteurs découvrent sur place les preuves matérielles de cette administration criminelle. Une bouteille de ZzzQuil et un flacon de médicament pour enfants contre le rhume multi-symptômes trônent dans la maison familiale, témoins silencieux d’une pratique systématique.
Ces substances, conçues pour provoquer somnolence et sédation chez l’adulte, deviennent des armes fatales dans un organisme immature. Le système nerveux d’Athena, incapable de métaboliser ces doses massives, a cédé sous la toxicité. Une mort programmée par l’inconscience parentale, documentée scientifiquement par les experts médico-légaux.
La machine judiciaire s’enclenche désormais face à l’évidence : deux parents ont empoisonné leur enfant par pur égoïsme conjugal.
Le Procès : Entre Préméditation Et Négligence
Cette machine judiciaire aboutit à son terme le 28 août 2025. Après délibérations, les jurés du tribunal de Lubbock rendent leur verdict : Adam Canales est reconnu coupable d’homicide involontaire. Quatre années de procédure s’achèvent par cette condamnation sans appel.
La procureure Sunshine Stanek livre ses conclusions accablantes devant la cour : « They dosed her ». Cette phrase lapidaire résume toute l’accusation. L’enquête révèle une pratique familiale systématique que Stanek dévoile publiquement : les parents avaient l’habitude de donner des médicaments aux enfants pour les faire dormir. Une méthode éducative criminelle appliquée au sein d’un foyer comptant six enfants.
Face à ces révélations, l’avocat de la défense Kristopher Mincey tente une ultime manœuvre. Il plaide l’accident tragique dans une famille nombreuse où la communication parentale aurait fait défaut. Selon lui, Adam Canales ignorait que son épouse administrait également des substances à l’enfant, transformant cette négligence mutuelle en cocktail mortel.
Mais les jurés ne retiennent pas cette version. Les aveux du père, reconnaissant avoir consciemment violé les contre-indications médicales, établissent une culpabilité indiscutable. Le trentenaire découvre alors l’ampleur des conséquences : une peine maximale de vingt années d’emprisonnement le menace désormais.
Les Conséquences Judiciaires Et L’implication De La Mère
Cette sentence de vingt années représente le maximum prévu par la loi texane pour homicide involontaire. Adam Canales attend désormais la phase de détermination de sa peine, ultime étape d’un processus judiciaire qui pourrait transformer sa vie en un interminable purgatoire carcéral.
Mais le dossier révèle une dimension supplémentaire : la complicité maternelle. L’épouse d’Adam Canales n’échappe pas aux poursuites pénales. Elle fait également l’objet d’accusations d’homicide involontaire pour son rôle dans l’administration des substances toxiques. Les enquêteurs établissent qu’elle participait activement à cette méthode d’endormissement, rendant sa culpabilité juridiquement établie.
Cette double inculpation transforme l’affaire en catastrophe familiale totale. Deux parents accusés, six enfants orphelins de fait, une fratrie éclatée par les services sociaux. Le tribunal de Lubbock doit désormais statuer sur le sort de cette mère qui, comme son compagnon, pourrait être reconnue coupable de la mort du nourrisson.
L’instruction révèle l’ampleur d’un système parental défaillant où la priorité accordée au couple primait sur la sécurité des enfants. Cette négligence criminelle collective soulève des interrogations sur la supervision familiale et les signalements manqués.