📌 Il donne du Benadryl à son bébé de 2 mois pour être tranquille avec sa femme : le drame qui a suivi

Posted 1 septembre 2025 by: Admin
Le Drame Qui Ébranle Le Texas : Quand La Négligence Devient Meurtre
Le verdict tombe comme un couperet ce jeudi 28 août au tribunal de Lubbock : Adam Canales, 33 ans, est reconnu coupable de meurtre. Derrière cette condamnation se cache un drame familial d’une cruauté saisissante qui a coûté la vie à un nourrisson de seulement deux mois.
L’affaire remonte au 11 juillet 2021, date tragique où le bébé rend son dernier souffle. Ce que les autorités découvriront ensuite dépasse l’entendement : pour « passer du temps de qualité » avec son épouse, ce père de famille administrait délibérément du Benadryl à son enfant. Ce puissant antihistaminique, totalement inadapté aux nourrissons, servait à sédater le bébé et éliminer toute « perturbation » dans le couple.
Les jurés texans n’ont eu aucune hésitation face à l’évidence des preuves. L’autopsie a formellement établi une intoxication médicamenteuse fatale, balayant les dénégations initiales d’Adam Canales qui niait catégoriquement avoir donné des médicaments à son enfant.
Cette condamnation historique au Texas révèle une réalité bien plus sombre : ce geste criminel n’était pas isolé, mais s’inscrivait dans une pratique répétée qui touchait plusieurs enfants du foyer familial.
La Méthode Meurtrière : Un Cocktail De Médicaments Mortels
Cette pratique répétée révèle un protocole d’empoisonnement méthodique d’une froideur glaçante. Les investigations judiciaires ont mis au jour l’administration quotidienne de Benadryl au moins deux fois par jour au nourrisson de deux mois. Ce puissant antihistaminique, conçu pour traiter les allergies chez l’adulte, provoque une somnolence extrême totalement inadaptée à l’organisme fragile d’un bébé.
L’arsenal pharmaceutique d’Adam Canales ne s’arrêtait pas là. L’enquête révèle l’utilisation systématique de ZzzQuil, un complément alimentaire destiné exclusivement aux adultes pour favoriser l’endormissement, ainsi que divers remèdes contre le rhume. Un cocktail mortifère administré avec une régularité terrifiante pour « éliminer les perturbations » familiales.
Le procureur général Sunshine Stanek a formellement dénoncé cette « habitude » criminelle du couple, soulignant qu’Adam Canales connaissait parfaitement les risques mortels de ces substances sur un organisme en développement. L’autopsie a d’ailleurs confirmé sans équivoque une intoxication médicamenteuse fatale.
Plus troublant encore : plusieurs enfants du foyer avaient été soumis à cette sédation médicamenteuse à de multiples reprises, révélant un système d’empoisonnement familial organisé. Cette découverte transforme un infanticide en révélation sur des pratiques parentales criminelles touchant l’ensemble de la fratrie, soulevant des questions cruciales sur la chronologie des faits.
Les Aveux Accablants Et L’Enquête Révélatrice
Cette chronologie meurtrière trouve son dénouement dans une enquête minutieuse qui brise progressivement les mensonges d’Adam Canales. Interpellé en 2022 aux côtés de son épouse Sarah, soit plus d’un an après la mort tragique survenue le 11 juillet 2021, l’homme de 33 ans avait initialement nié catégoriquement toute administration de médicaments au nourrisson.
Ces dénégations s’effondrent face aux preuves médico-légales irréfutables. L’autopsie révèle sans ambiguïté une intoxication médicamenteuse, contraignant Adam Canales à abandonner sa stratégie de défense. Les aveux qui suivent dévoilent l’ampleur de la manipulation : le père reconnaît avoir administré du Benadryl « au moins deux fois par jour » à son enfant de deux mois.
Le procureur Sunshine Stanek fait alors une déclaration qui résonne comme un réquisitoire implacable contre cette « habitude » criminelle. Elle établit formellement qu’Adam Canales possédait une parfaite connaissance du caractère létal de ces substances pour un nourrisson. Cette conscience du danger transforme l’acte en préméditation, élevant la négligence au rang de meurtre délibéré.
L’objectif avoué révèle une froideur glaçante : permettre au couple de vivre des moments intimes sans être dérangé par les pleurs du bébé. Cette révélation expose la priorisation criminelle du confort conjugal sur la survie de l’enfant, préparant un verdict judiciaire aux conséquences définitives.
Justice Et Zones D’Ombre : Entre Verdict Et Interrogations
Ces conséquences définitives se matérialisent désormais par un verdict sans appel. Adam Canales encourt jusqu’à 20 ans de prison, une peine qui reflète la gravité exceptionnelle de ses actes prémédités. Le tribunal de Lubbock a ainsi reconnu le caractère meurtrier de l’administration répétée de substances toxiques à un nourrisson, transformant un foyer familial en laboratoire criminel.
Cependant, l’affaire demeure incomplète sur un aspect crucial : la responsabilité de Sarah Canales reste à déterminer. Cette mère de famille de six enfants voit son procès toujours en cours, soulevant des interrogations majeures sur son degré d’implication dans ce système de sédation mortelle. La justice doit trancher une question fondamentale : était-elle complice active ou victime d’une manipulation conjugale ?
Cette incertitude judiciaire soulève des enjeux juridiques considérables pour l’avenir. Le verdict concernant Sarah Canales pourrait établir un précédent déterminant dans la manière dont la loi américaine traite les parents impliqués dans l’administration inappropriée de médicaments à leurs enfants. L’affaire dépasse ainsi le cadre individuel pour questionner les responsabilités parentales partagées.
La décision finale sur le sort de la mère influencera durablement la jurisprudence en matière de négligence médicale domestique, transformant cette tragédie texane en référence légale pour les tribunaux américains confrontés à des cas similaires de maltraitance pharmaceutique infantile.