📌 Mouans-Sartoux : un fils de 25 ans agresse mortellement son père à la machette devant les voisins impuissants

Posted 3 novembre 2025 by: Admin
Le Drame En Plein Jour : Reconstitution D’Un Parricide Sous Les Yeux Des Voisins
Le dimanche 2 novembre 2025, vers midi, la résidence du chemin des Gourettes à Mouans-Sartoux bascule dans l’horreur. Un homme âgé d’une trentaine d’années s’attaque mortellement à son père, sexagénaire, dans un déchaînement de violence qui marque à jamais cette commune des Alpes-Maritimes.
Le parricide se déroule au beau milieu de l’entrée de l’immeuble, transformant cet espace de passage quotidien en théâtre d’un crime d’une rare brutalité. L’architecture particulière de la résidence, constituée de coursives ouvertes, expose la scène aux regards des habitants qui assistent, impuissants, au drame qui se joue sous leurs yeux.
La mère du meurtrier, également compagne de la victime, est absente au moment des faits. Cette absence prive le père de famille de tout soutien familial face à la fureur de son fils, laissant les voisins comme seuls témoins de cette tragédie familiale qui éclate en pleine lumière.
L’immeuble, habituellement paisible, se transforme en quelques minutes en lieu de crime où résonnent les cris et la violence. Les résidents, sidérés par la soudaineté et l’intensité de l’agression, découvrent l’ampleur du drame qui vient de se jouer devant leurs portes.
La Violence Extrême De L’Agression : Machette Et Couteau De Cuisine
Cette violence qui résonne dans l’immeuble atteint des sommets d’une barbarie inouïe. L’assaillant s’acharne sur son père avec une méthode terrifiante : il le frappe d’abord à la gorge et à la tête avec une machette, avant de poursuivre son carnage avec un grand couteau de cuisine.
L’usage successif de ces deux armes révèle une préméditation glaçante et une détermination meurtrière qui sidère les témoins. Les zones visées – gorge et tête – témoignent d’une volonté d’infliger des blessures mortelles dès les premiers coups.
« Il était tellement violent qu’il nous aurait plantés », confie une résidente encore sous le choc. Cette déclaration illustre l’intensité sidérante de l’agression qui paralyse littéralement les voisins. Plus troublant encore, plusieurs témoins rapportent que l’homme, « hors de lui », souriait pendant son attaque, ajoutant une dimension psychologique glaçante au drame.
« C’était une vraie boucherie », résume l’un des témoins, une formule qui capture l’horreur absolue de la scène. Après cette déferlante de violence, le fils se retranche immédiatement chez lui, laissant derrière lui un spectacle d’une cruauté indicible.
Cette démonstration de sauvagerie laisse les habitants dans un état de choc profond, confrontés à une réalité qui dépasse l’entendement humain.
L’Impuissance Des Témoins Face À La Barbarie
Cet état de choc révèle en réalité une paralysie collective face à une violence qui dépasse toute norme humaine. L’architecture même de la résidence transforme ce drame privé en spectacle public terrifiant : l’immeuble, constitué de coursives ouvertes, expose chaque geste de l’agresseur aux regards horrifiés des voisins.
« Personne n’a osé intervenir », témoigne une résidente dont les mots trahissent un sentiment de culpabilité mêlé d’impuissance. Cette paralysie collective s’explique par l’intensité sidérante de la violence déployée : « Il était tellement violent qu’il nous aurait plantés », justifie-t-elle, révélant la peur viscérale qui a saisi tous les témoins.
L’attitude de l’agresseur ajoute une dimension psychologique glaçante à cette impuissance. Plusieurs voisins rapportent qu’il était « hors de lui » tout en souriant pendant son attaque, une contradiction terrifiante qui fige littéralement les spectateurs involontaires. Cette expression de jouissance dans la violence crée un effet d’inhibition totale chez les témoins.
Cette scène illustre le phénomène psychologique bien documenté de l’effet spectateur face à la violence extrême : plus l’agression est brutale, plus les témoins se trouvent dans l’incapacité d’agir. L’horreur de la situation dépasse alors les capacités de réaction humaines normales, transformant chaque voisin en témoin impuissant d’une barbarie qui les marquera à vie.
L’Interpellation Et Le Profil Psychiatrique Du Meurtrier
Cette paralysie des témoins prend fin avec l’arrivée des forces de l’ordre qui mettent rapidement un terme à cette spirale de violence. Le Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie locale intervient et procède à l’interpellation du meurtrier, toujours retranché dans son domicile après avoir commis l’irréparable.
La machine judiciaire s’enclenche immédiatement : l’homme est placé en garde à vue tandis que le secteur entier est bouclé par la police municipale. Cette coordination permet aux sapeurs-pompiers et au Samu de prendre en charge les témoins, profondément traumatisés par ce qu’ils viennent de vivre.
Mais c’est la révélation du procureur de la République de Grasse, Éric Camous, qui apporte un éclairage crucial sur cette violence inexplicable. Le magistrat confirme que le tueur présente « d’importants troubles psychiatriques », une information qui commence à dessiner le profil d’un homme dont la pathologie mentale a basculé dans l’horreur absolue.
Cette révélation psychiatrique ne diminue en rien la gravité du parricide, mais elle soulève des questions essentielles sur la prise en charge des troubles mentaux graves. Comment ce jeune homme a-t-il pu accéder à des armes aussi facilement ? Quels signaux d’alarme ont-ils été négligés ? Autant d’interrogations qui accompagnent désormais cette enquête criminelle d’une rare violence.










