📌 Pierre-Jean Chalençon se défend sur X après avoir qualifié Rachida Dati de « reine du couscous » : « Amoureux de la diversité »

Posted 2 novembre 2025 by: Admin
Le Premier Dérapage : Des Propos Racistes Après Le Braquage Du Louvre
Le vol spectaculaire des joyaux de la couronne au musée du Louvre le 20 octobre 2025 a secoué la France entière. Mais c’est la réaction de Pierre-Jean Chalençon qui a provoqué un véritable tollé. L’ancien brocanteur d’Affaire conclue, connu pour ses sorties polémiques, a franchi une ligne rouge quelques jours après ce cambriolage historique.
Dans une interview accordée à GPTV, l’antiquaire s’est lancé dans un monologue d’une rare violence verbale en réaction à ce braquage qui avait ébranlé le patrimoine français. « Il y a une surpopulation maghrébine qui est en train de nous assassiner. Il faut qu’on ferme notre gueule parce qu’on est tellement gentils, nous les cathos, que bientôt on va se faire égorger chez nous », a-t-il déclaré sans retenue.
L’escalade s’est poursuivie avec une expression encore plus choquante : « On en a ras-le-bol de la bamboula ». Ces propos, d’une violence inouïe, établissent un lien direct et toxique entre l’actualité criminelle et des considérations raciales, révélant une dérive inquiétante de la part de cette personnalité médiatique.
Cette première sortie médiatique post-braquage du Louvre marque un tournant dans les déclarations publiques de Chalençon, ouvrant la voie à une spirale polémique qui ne fait que commencer.
Récidive Chez Cyril Hanouna : « La Reine Du Couscous »
Cette première sortie médiatique aurait dû servir d’avertissement. Pourtant, deux semaines plus tard, Pierre-Jean Chalençon récidive sur le plateau de « Tout beau tout neuf », l’émission animée par Cyril Hanouna. Loin de faire profil bas après la tempête médiatique, l’ancien brocanteur persiste dans la provocation.
Interrogé sur la polémique qui l’entoure, Chalençon lâche une nouvelle phrase qui glace l’assistance : « Et la Rachida, la reine du couscous ! » Une attaque directe et raciste visant Rachida Dati, actuelle ministre de la Culture. Cette remarque, d’une grossièreté révoltante, révèle une stratégie délibérée de surenchère.
La réaction du plateau est immédiate. Un silence pesant s’installe, témoignant du malaise provoqué par ces propos d’une rare violence. Cette deuxième sortie confirme que les premières déclarations n’étaient pas un simple dérapage, mais bien l’expression d’une pensée assumée.
L’affaire prend alors une tout autre dimension. Le caractère répétitif et ciblé de ces attaques transforme ce qui aurait pu passer pour un moment d’égarement en véritable campagne de haine. La controverse nationale qui s’ensuit pose désormais la question cruciale de la responsabilité des médias face à de tels débordements.
Contre-Attaque Virulente Sur Twitter : « Moi Raciste !! »
Face à cette controverse qui enfle, Pierre-Jean Chalençon ne choisit pas l’apaisement. Le 1er novembre, il contre-attaque violemment sur X (anciennement Twitter), adoptant une stratégie de défense aussi agressive que ses premières sorties.
« Moi raciste !!!! Moi raciste !!! Vous devriez la fermer !!!! » hurle-t-il littéralement dans son message. Une entrée en matière qui révèle un homme aux abois, incapable de mesurer la portée de ses propos. Loin de présenter des excuses, l’antiquaire se pose en victime incomprise.
Sa défense prend alors une tournure particulièrement révélatrice. « Si ceux qui me critiquent connaissaient ma vie amicale, professionnelle et amoureuse, ils seraient très surpris. Je suis un amoureux de la diversité ! » Une argumentation classique qui tente de justifier des propos racistes par des relations personnelles supposées.
La référence à « mon premier séjour chez Frédéric Mitterrand en Tunisie » constitue le point culminant de cette défense bancale. Invoquer ses expériences privées pour légitimer des déclarations publiques d’une rare violence révèle une incompréhension totale des enjeux.
Le message se termine par une attaque frontale contre ses détracteurs : « Vous êtes pathétiques et dangereux. C’est vous le poison de notre société. Vous voulez notre mort !! » Cette escalade verbale transforme définitivement l’incident en affaire d’État, mobilisant l’opinion publique bien au-delà du simple divertissement télévisé.
Ampleur Nationale Et Débat Sur Les Limites Médiatiques
Cette escalade verbale inédite dépasse désormais le simple fait divers télévisuel. L’affaire Chalençon cristallise un débat national sur les limites de la liberté d’expression à l’ère des réseaux sociaux et des plateformes de divertissement.
L’indignation traverse tous les secteurs de la société. Associations antiracistes, personnalités politiques et citoyens ordinaires dénoncent unanimement ces dérapages répétés. Sur X, les hashtags #ChâlenconRaciste et #StopAuRacisme cumulent des centaines de milliers d’interactions, révélant l’ampleur du malaise social.
Au-delà de la personne de Pierre-Jean Chalençon, c’est tout un système médiatique qui se retrouve questionné. Les chaînes qui l’invitent portent-elles une responsabilité dans la diffusion de ces propos ? Cyril Hanouna et son équipe auraient-ils dû réagir plus fermement face à la remarque sur Rachida Dati ?
Cette polémique relance également l’épineux débat sur la régulation du discours public. Entre protection de la liberté d’expression et lutte contre les discriminations, la frontière devient de plus en plus floue. Les propos de l’antiquaire, qui qualifie ses détracteurs de « poison de notre société », illustrent parfaitement cette dérive où la victimisation remplace l’autocritique.
L’affaire Chalençon révèle ainsi les failles d’un écosystème médiatique où le buzz prime parfois sur la responsabilité éditoriale, transformant les plateaux télé en tribunes pour des discours de plus en plus radicaux.










